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La foi, la musique, le sexe et le showbiz furent les piliers sur lesquels s'appuya toute sa vie Solomon Burke, "Roi de la Soul", 21 enfants et 158 kg, (89 petits enfants au dernier recensement). Le chanteur d'"Everybody needs somebody to love", rival éternel de James Brown, se produisait sur scène, tel un empereur, assis sur un trône. Don't Give Up On Me marqua son retour sur scène en 2002, orchestré par ses fans inconditionnels : Joe Henry, Elvis Costello et Tom Waits en tête. Entrepreneur dans les pompes funèbres, « vendeur épique » selon un de ses anciens producteurs, Solomon Burke aura de tout temps rivalisé avec James Brown pour le titre du « Hardest Working Man in show business » [le plus gros bosseur du showbiz]. Ça n'est pas la seule couronne qu'il lui disputait. Alors que James Brown portait fièrement le blason de « Godfather of soul », Solomon Burke s'arrangeait très bien de celui de « Roi du rock et de la soul » que lui avait décerné un DJ au début des années 60. Il montait rarement sur scène sans sa couronne, son sceptre et sa cape doublée d'hermine. Modeste, Solomon Burke, qui se faisait appeler « le roi Solomon » disait : « Nous sommes tous des rois ». Son histoire est des plus rocambolesque, il en donnait lui-même tant de versions différentes que nous sommes confronté là à la légende d'un héros attachant, impérial ! Un moment descendu au plus bas, on aurait pu le perdre à jamais. Mais Hollywood organisa un premier revival en donnant de grands rôles à ses chansons, Everybody needs somebody to love dans les "Blues Brothers", Cry to me dans "Dirty Dancing". Des musiciens de goût firent le reste en lui offrant la fin qu'il méritait. Pas au sommet, mais pas loin.
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Solomon Burke, MainArtist - Copyright Control (Solomon Burke), MusicPublisher
2002 Epitaph 2002 Epitaph
Solomon Burke, MainArtist - Copyright Control (Solomon Burke), MusicPublisher
2002 Epitaph 2014 Courtesy of Anti Records, a division of Epitaph.
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2002 Epitaph 2002 Epitaph
Chronique
La foi, la musique, le sexe et le showbiz furent les piliers sur lesquels s'appuya toute sa vie Solomon Burke, "Roi de la Soul", 21 enfants et 158 kg, (89 petits enfants au dernier recensement). Le chanteur d'"Everybody needs somebody to love", rival éternel de James Brown, se produisait sur scène, tel un empereur, assis sur un trône. Don't Give Up On Me marqua son retour sur scène en 2002, orchestré par ses fans inconditionnels : Joe Henry, Elvis Costello et Tom Waits en tête. Entrepreneur dans les pompes funèbres, « vendeur épique » selon un de ses anciens producteurs, Solomon Burke aura de tout temps rivalisé avec James Brown pour le titre du « Hardest Working Man in show business » [le plus gros bosseur du showbiz]. Ça n'est pas la seule couronne qu'il lui disputait. Alors que James Brown portait fièrement le blason de « Godfather of soul », Solomon Burke s'arrangeait très bien de celui de « Roi du rock et de la soul » que lui avait décerné un DJ au début des années 60. Il montait rarement sur scène sans sa couronne, son sceptre et sa cape doublée d'hermine. Modeste, Solomon Burke, qui se faisait appeler « le roi Solomon » disait : « Nous sommes tous des rois ». Son histoire est des plus rocambolesque, il en donnait lui-même tant de versions différentes que nous sommes confronté là à la légende d'un héros attachant, impérial ! Un moment descendu au plus bas, on aurait pu le perdre à jamais. Mais Hollywood organisa un premier revival en donnant de grands rôles à ses chansons, Everybody needs somebody to love dans les "Blues Brothers", Cry to me dans "Dirty Dancing". Des musiciens de goût firent le reste en lui offrant la fin qu'il méritait. Pas au sommet, mais pas loin.
À propos
- 1 disque(s) - 11 piste(s)
- Durée totale : 00:51:35
- Artistes principaux : Solomon Burke
- Label : Anti - Epitaph
- Genre : Blues/Country/Folk Blues
2002 Epitaph 2002 Epitaph
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