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Andrzej Krawiec|Nowowiejski: Symphonic Works

Nowowiejski: Symphonic Works

Opole Philharmonic Symphony Orchestra, Przemyslaw Neumann

Livret numérique

Disponible en
16-Bit/44.1 kHz Stereo

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Il n’y a pas plus Polonais que le compositeur Feliks Nowowiejski ; et pourtant, au cours de son enfance, en Prusse-Orientale, il parlait plus allemand que polonais. Ses études le menèrent à Berlin auprès de Max Bruch, puis après avoir remporté le Prix Meyerbeer, il fit son grand voyage initiatique à travers l’Europe où il put croiser Mahler, Saint-Saëns, Mascagni, Leoncavallo, et se familiariser avec tous les modernismes d’alors. Un second succès au Prix Meyerbeer lui rapporta encore quelque confort matériel dans la sphère germanique, mais il avait déjà commencé à s’intéresser à la culture historique polonaise ainsi qu’en témoignent ses œuvres du début de XXe siècle, comme par exemple Procession funèbre de Kościuszko ou, peu après, la Légende de la Mer Baltique. Il s’installa à Cracovie en 1909, se rapprocha toujours plus des patriotes polonais, mais ses anciens liens avec l’Allemagne le rendirent quelque peu « non grata » dans son propre pays, de sorte qu’il fit la guerre… dans l’armée du Kaiser – dirigeant une chapelle militaire, une activité assez peu martiale il faut bien le dire. Dès la fin de la Grande Guerre, il retourna en Pologne devenue enfin polonaise, ce qui lui valut cette fois l’inimitié de l’establishment musical allemand : ses œuvres, souvent jouées auparavant en Allemagne, étaient dès lors boycottées – Bruch joua un rôle peu reluisant dans cet ostracisme. Après une attaque cérébrale en 1941, Nowowiejski posa le crayon et s’éteignit, enfin Polonais mais hélas largement oublié, en 1946. Sa musique intègre de nombreuses tournures à la polonaise, dans un langage orchestral bien plus proche de Mahler que de Bruch, ce dont personne n’ira se plaindre. Les œuvres ici enregistrées, redécouvertes après avoir bien trop longtemps séjourné dans d’obscures bibliothèques, montrent un compositeur original, orchestrateur hardi, doué d’un grand sens mélodique. À découvrir, d’autant que les compositeurs polonais de cette époque ne sont pas légion… © SM/Qobuz

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Nowowiejski: Symphonic Works

Andrzej Krawiec

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The Return of the Prodigal Son, Op. 3 (Feliks Nowowiejski)

1
Overture
Andrzej Krawiec
00:13:36

Feliks Nowowiejski, Composer - Andrzej Krawiec, Artist, MainArtist - Przemyslaw Neumann, Conductor - Opole Philharmonic Symphony Orchestra, Orchestra

(C) 2018 DUX (P) 2018 DUX

Beatrice, Op. 17, No. 1 (Feliks Nowowiejski)

2
Beatrice, Op. 17, No. 1
Andrzej Krawiec
00:20:01

Feliks Nowowiejski, Composer - Andrzej Krawiec, Artist, MainArtist - Przemyslaw Neumann, Conductor - Opole Philharmonic Symphony Orchestra, Orchestra - Andrzej Szajda, Artist

(C) 2018 DUX (P) 2018 DUX

Nina and Pergolesi, Op. 17, No. 2 (Feliks Nowowiejski)

3
Nina and Pergolesi, Op. 17, No. 2
Opole Philharmonic Symphony Orchestra
00:18:09

Feliks Nowowiejski, Composer - Przemyslaw Neumann, Conductor - Opole Philharmonic Symphony Orchestra, Orchestra, MainArtist

(C) 2018 DUX (P) 2018 DUX

The Legend of the Baltic Sea, Op. 28 (Feliks Nowowiejski)

4
Overture
Opole Philharmonic Symphony Orchestra
00:12:28

Feliks Nowowiejski, Composer - Przemyslaw Neumann, Conductor - Opole Philharmonic Symphony Orchestra, Orchestra, MainArtist

(C) 2018 DUX (P) 2018 DUX

King of the Winds, Op. 37 (Feliks Nowowiejski)

5
King of the Winds, Op. 37
Opole Philharmonic Symphony Orchestra
00:12:55

Feliks Nowowiejski, Composer - Przemyslaw Neumann, Conductor - Opole Philharmonic Symphony Orchestra, Orchestra, MainArtist

(C) 2018 DUX (P) 2018 DUX

Chronique

Il n’y a pas plus Polonais que le compositeur Feliks Nowowiejski ; et pourtant, au cours de son enfance, en Prusse-Orientale, il parlait plus allemand que polonais. Ses études le menèrent à Berlin auprès de Max Bruch, puis après avoir remporté le Prix Meyerbeer, il fit son grand voyage initiatique à travers l’Europe où il put croiser Mahler, Saint-Saëns, Mascagni, Leoncavallo, et se familiariser avec tous les modernismes d’alors. Un second succès au Prix Meyerbeer lui rapporta encore quelque confort matériel dans la sphère germanique, mais il avait déjà commencé à s’intéresser à la culture historique polonaise ainsi qu’en témoignent ses œuvres du début de XXe siècle, comme par exemple Procession funèbre de Kościuszko ou, peu après, la Légende de la Mer Baltique. Il s’installa à Cracovie en 1909, se rapprocha toujours plus des patriotes polonais, mais ses anciens liens avec l’Allemagne le rendirent quelque peu « non grata » dans son propre pays, de sorte qu’il fit la guerre… dans l’armée du Kaiser – dirigeant une chapelle militaire, une activité assez peu martiale il faut bien le dire. Dès la fin de la Grande Guerre, il retourna en Pologne devenue enfin polonaise, ce qui lui valut cette fois l’inimitié de l’establishment musical allemand : ses œuvres, souvent jouées auparavant en Allemagne, étaient dès lors boycottées – Bruch joua un rôle peu reluisant dans cet ostracisme. Après une attaque cérébrale en 1941, Nowowiejski posa le crayon et s’éteignit, enfin Polonais mais hélas largement oublié, en 1946. Sa musique intègre de nombreuses tournures à la polonaise, dans un langage orchestral bien plus proche de Mahler que de Bruch, ce dont personne n’ira se plaindre. Les œuvres ici enregistrées, redécouvertes après avoir bien trop longtemps séjourné dans d’obscures bibliothèques, montrent un compositeur original, orchestrateur hardi, doué d’un grand sens mélodique. À découvrir, d’autant que les compositeurs polonais de cette époque ne sont pas légion… © SM/Qobuz

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