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CSS|La Liberación

La Liberación

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Après leur second album, Donkey (2008), que certains avaient jugé décevant. D’autant plus que la délicieuse claque de Cansei de Ser Sexy (2005) laissait espérer le meilleur de cette troupe de joyeux lurons, hédonistes et insolents, qui constituait CSS.
 


Certes, ce nouvel opus peut ne pas inspirer beaucoup d’enthousiasme de prime abord. Le premier titre, « I Love You » est entraînant mais flirte trop rapidement avec les nerfs de l’auditeur. Heureusement, « Hits Me Like a Rock » bénéficie de la présence de Bobby Gillespie de Primal Scream et séduit par son rythme langoureux. « City Grrl », « Echo of Love » et « You Could Have It All » sont d’agréables hymnes dance-floor, faussement mignons et plus acides que sucrés. Puis « La Liberación » déboule à peu près de nulle part, renouant avec enthousiasme avec la fièvre rock des débuts de la bande brésilienne. « Ruby Eyes » se sert aussi bien dans le shoegaze que dans le grunge avec un appétit joyeusement profane. « Rythm to the Rebels » est drôle, poussif, et ne se cache pas d’un clin d’œil à Joan Jett, transformant CSS en Runaways post-pubères. Là, l’auditeur s’est laissé conquérir.



Petite pépite presque cachée au milieu de l’album, « Partners in Crime », qui, mélodiquement et vocalement irrésistible, est aussi sensuel que vénéneux. Souffler le chaud et le froid : c’est ce que CSS, porté par sa chanteuse Lovefoxxx, parvient à faire avec un naturel désarmant. Enfin, la jolie pop ciselée de « Red Alert », fruit d’une collaboration avec le groupe d’electro indie Ratatat et le punk hystérique de « Fuck Everything » concluent cette libération pas seulement sexuelle - elle est consommée depuis bien longtemps par CSS.

Elle est aussi (et surtout ?) générique, brassant n’importe quoi mais pas n’importe comment. Malgré quelques moments de faiblesse, et malgré le fait qu’il ne soit pas exactement inoubliable, La Liberación se révèle plus solide qu’il en a l’air. CSS peut souffler, le public devrait suivre !







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1
La Liberación
00:02:13

CSS, MainArtist - Adriano Cintra, Composer

2011 V2 Records International T/A Cooperative Music 2011 V2 Records International T/A Cooperative Music

Chronique

Après leur second album, Donkey (2008), que certains avaient jugé décevant. D’autant plus que la délicieuse claque de Cansei de Ser Sexy (2005) laissait espérer le meilleur de cette troupe de joyeux lurons, hédonistes et insolents, qui constituait CSS.
 


Certes, ce nouvel opus peut ne pas inspirer beaucoup d’enthousiasme de prime abord. Le premier titre, « I Love You » est entraînant mais flirte trop rapidement avec les nerfs de l’auditeur. Heureusement, « Hits Me Like a Rock » bénéficie de la présence de Bobby Gillespie de Primal Scream et séduit par son rythme langoureux. « City Grrl », « Echo of Love » et « You Could Have It All » sont d’agréables hymnes dance-floor, faussement mignons et plus acides que sucrés. Puis « La Liberación » déboule à peu près de nulle part, renouant avec enthousiasme avec la fièvre rock des débuts de la bande brésilienne. « Ruby Eyes » se sert aussi bien dans le shoegaze que dans le grunge avec un appétit joyeusement profane. « Rythm to the Rebels » est drôle, poussif, et ne se cache pas d’un clin d’œil à Joan Jett, transformant CSS en Runaways post-pubères. Là, l’auditeur s’est laissé conquérir.



Petite pépite presque cachée au milieu de l’album, « Partners in Crime », qui, mélodiquement et vocalement irrésistible, est aussi sensuel que vénéneux. Souffler le chaud et le froid : c’est ce que CSS, porté par sa chanteuse Lovefoxxx, parvient à faire avec un naturel désarmant. Enfin, la jolie pop ciselée de « Red Alert », fruit d’une collaboration avec le groupe d’electro indie Ratatat et le punk hystérique de « Fuck Everything » concluent cette libération pas seulement sexuelle - elle est consommée depuis bien longtemps par CSS.

Elle est aussi (et surtout ?) générique, brassant n’importe quoi mais pas n’importe comment. Malgré quelques moments de faiblesse, et malgré le fait qu’il ne soit pas exactement inoubliable, La Liberación se révèle plus solide qu’il en a l’air. CSS peut souffler, le public devrait suivre !







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