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Philippe Quint|Korngold : Violin Concerto

Korngold : Violin Concerto

Philippe Quint, Orquesta Sinfónica de Mineria, Carlos Miguel Prieto

Livret numérique

Disponible en
16-Bit/44.1 kHz Stereo

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Bien qu’écrit en 1945, le Concerto de Korngold présente avec une certaine insolence le langage d’Entre-deux-guerres du compositeur, post-mahlerien, post-straussien, au mépris absolu des voies empruntées par l’Ecole de Vienne. D’aucuns y verront l’emprise de Hollywood, possible, peu importe : Hollywood n’a pas formaté Korngold, c’est au contraire Korngold qui a, avec quelques autres, créé le langage musical du grand cinéma états-unien. D’ailleurs, le Concerto reprend sans vergogne des thèmes de diverses partitions cinématographiques, les développant dans une forme résolument traditionnelle — mais si l’enveloppe reste classique, le contenu est rien moins que révolutionnaire dans son langage imagé, évocateur, du vrai cinéma sans l’image.
Par contre, la Schauspiel-Ouvertüre de 1911 est une véritable œuvre de jeunesse, puisque Korngold n’avait alors que quatorze ans ! C’est la première œuvre qu’il orchestra entièrement lui-même ; Nikisch la créa dans la foulée avec le Gewandhausorchester de Leipzig. Les influences de Wagner, Liszt et Strauss n’y sont point cachées, mais l’idiome présente déjà cet aspect puissamment pictural, irrésistible, des œuvres plus tardives de Korngold.
Enfin, la musique de scène pour Beaucoup de bruit pour rien, une charmante composition de 1918, écrite pour un ensemble réduit, qui n’est pas sans évoquer Le Bourgeois gentilhomme de Strauss — cette suite ayant été composée en 1917 mais créée seulement en 1920, on peut donc écarter toute idée d’émulation directe. Humour, esprit, facétie, légèreté, c’est là une partition à ne pas laisser passer !

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Korngold : Violin Concerto

Philippe Quint

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Violin Concerto in D major, Op. 35 (Erich Wolfgang Korngold)

1
I. Moderato nobile
Philippe Quint
00:08:50

Philippe Quint, Violin - Orquesta Sinfónica de Mineria - Carlos Miguel Prieto, Conductor

(C) 2009 Naxos (P) 2009 Naxos

2
II. Romanze. Andante
Philippe Quint
00:07:51

Philippe Quint, Violin - Orquesta Sinfónica de Mineria - Carlos Miguel Prieto, Conductor

(C) 2009 Naxos (P) 2009 Naxos

3
III. Finale. Allegro assai vivace
Philippe Quint
00:07:06

Philippe Quint, Violin - Orquesta Sinfónica de Mineria - Carlos Miguel Prieto, Conductor

(C) 2009 Naxos (P) 2009 Naxos

Schauspiel Overture, Op. 4 (Erich Wolfgang Korngold)

4
Schauspiel Overture, Op. 4
Mineria Symphony Orchestra
00:13:35

Orquesta Sinfónica de Mineria - Carlos Miguel Prieto, Conductor

(C) 2009 Naxos (P) 2009 Naxos

Much Ado about Nothing Suite, Op. 11 (Erich Wolfgang Korngold)

5
I. Overture
Mineria Symphony Orchestra
00:05:13

Orquesta Sinfónica de Mineria - Carlos Miguel Prieto, Conductor

(C) 2009 Naxos (P) 2009 Naxos

6
II. Bridal Morning
Mineria Symphony Orchestra
00:03:24

Orquesta Sinfónica de Mineria - Carlos Miguel Prieto, Conductor

(C) 2009 Naxos (P) 2009 Naxos

7
III. Dogberry and Verges
Mineria Symphony Orchestra
00:02:43

Orquesta Sinfónica de Mineria - Carlos Miguel Prieto, Conductor

(C) 2009 Naxos (P) 2009 Naxos

Much Ado about Nothing Suite, Op. 11, IV. Intermezzo (Garden Scene) (Erich Wolfgang Korngold)

8
Much Ado about Nothing Suite, Op. 11, IV. Intermezzo (Garden Scene)
Mineria Symphony Orchestra
00:02:11

Orquesta Sinfónica de Mineria - Carlos Miguel Prieto, Conductor

(C) 2009 Naxos (P) 2009 Naxos

Much Ado about Nothing Suite, Op. 11 (Erich Wolfgang Korngold)

9
V. Hornpipe
Mineria Symphony Orchestra
00:02:40

Orquesta Sinfónica de Mineria - Carlos Miguel Prieto, Conductor

(C) 2009 Naxos (P) 2009 Naxos

Chronique

Bien qu’écrit en 1945, le Concerto de Korngold présente avec une certaine insolence le langage d’Entre-deux-guerres du compositeur, post-mahlerien, post-straussien, au mépris absolu des voies empruntées par l’Ecole de Vienne. D’aucuns y verront l’emprise de Hollywood, possible, peu importe : Hollywood n’a pas formaté Korngold, c’est au contraire Korngold qui a, avec quelques autres, créé le langage musical du grand cinéma états-unien. D’ailleurs, le Concerto reprend sans vergogne des thèmes de diverses partitions cinématographiques, les développant dans une forme résolument traditionnelle — mais si l’enveloppe reste classique, le contenu est rien moins que révolutionnaire dans son langage imagé, évocateur, du vrai cinéma sans l’image.
Par contre, la Schauspiel-Ouvertüre de 1911 est une véritable œuvre de jeunesse, puisque Korngold n’avait alors que quatorze ans ! C’est la première œuvre qu’il orchestra entièrement lui-même ; Nikisch la créa dans la foulée avec le Gewandhausorchester de Leipzig. Les influences de Wagner, Liszt et Strauss n’y sont point cachées, mais l’idiome présente déjà cet aspect puissamment pictural, irrésistible, des œuvres plus tardives de Korngold.
Enfin, la musique de scène pour Beaucoup de bruit pour rien, une charmante composition de 1918, écrite pour un ensemble réduit, qui n’est pas sans évoquer Le Bourgeois gentilhomme de Strauss — cette suite ayant été composée en 1917 mais créée seulement en 1920, on peut donc écarter toute idée d’émulation directe. Humour, esprit, facétie, légèreté, c’est là une partition à ne pas laisser passer !

Détails de l'enregistrement original : 53:40 - Recorded August 2007, Sala Nezahualcóyotl, Mexico

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