Qobuz Store wallpaper
Catégories :
Panier 0

Votre panier est vide

The Cramps|Smell of Female

Smell of Female

The Cramps

Disponible en
16-Bit/44.1 kHz Stereo

Musique illimitée

Écoutez cet album en haute-qualité dès maintenant dans nos applications

Démarrer ma période d'essai et lancer l'écoute de cet album

Profitez de cet album sur les apps Qobuz grâce à votre abonnement

Souscrire

Profitez de cet album sur les apps Qobuz grâce à votre abonnement

Téléchargement digital

Téléchargez cet album dans la qualité de votre choix

Après deux années de délicatesse juridique (en rupture de ban avec leur label, et dans l’impossibilité contractuelle d’enregistrer le moindre nouveau disque), les Cramps reviennent sur le devant de la scène internationale, grâce à un mini-album, enregistré au Peppermint Lounge de New York (les 25 et 26 février 1983), et, donc, dans leur cour de récréation, en quelque sorte).



Kid Congo Powers tient toujours l’une des deux guitares, ce qui est une bonne nouvelle. Le groupe n’a rien perdu de son énergie tranchante, ce qui en une autre. Et la sélection de morceaux originaux, et de reprises, s’avère toujours aussi judicieuse, ce qui constitue un véritable conte de fées. Dans « Thee Most Exhalted Potentate of Love », le chanteur Lux Interior balbutie avec un talent unique, il génère avec « You Got Good Taste » un enthousiasme légèrement perverti, et « Surfin' Dead » (seule prise en studio) démontre à satiété que, si les Californiens n’ont rien compris aux Beach Boys, ils maîtrisent en revanche parfaitement l’odeur trouble et entêtante du rock de seconde zone.



On leur est également gré d’avoir exhumé l’une des chansons du violemment mammaire film de Russ Meyer (Faster, Pussycat ! Kill ! Kill !), en se demandant comment on avait pu faire sans, auparavant. Quant à la version du « Psychotic Reaction » des Count Five (éminemment représentant de la scène punk américaine des sixties), elle mesure en effet le gouffre qui sépare une démence feinte, de la pure psychose. Et l’illustration de pochette, toute en fumets délicats et moites, est très bien, aussi.









©Copyright Music Story 2015

Plus d'informations

Smell of Female

The Cramps

launch qobuz app J'ai déjà téléchargé Qobuz pour Mac OS Ouvrir

download qobuz app Je n'ai pas encore téléchargé Qobuz pour Mac OS Télécharger l'app

Vous êtes actuellement en train d’écouter des extraits.

Écoutez plus de 100 millions de titres avec votre abonnement illimité.

Écoutez cette playlist et plus de 100 millions de titres avec votre abonnement illimité.

À partir de 12,49€/mois

1
Thee Most Exalted Potentate of Love
00:03:03

The Cramps, MainArtist

(C) 2014 Vengeance Records (P) 2014 Vengeance Records

2
You Got Good Taste
00:03:26

The Cramps, MainArtist

(C) 2014 Vengeance Records (P) 2014 Vengeance Records

3
Call of the Wighat
00:03:47

The Cramps, MainArtist

(C) 2014 Vengeance Records (P) 2014 Vengeance Records

4
Faster Pussycat
00:02:47

The Cramps, MainArtist

(C) 2014 Vengeance Records (P) 2014 Vengeance Records

5
I Ain't Nuthin' but a Gorehound
00:03:16

The Cramps, MainArtist

(C) 2014 Vengeance Records (P) 2014 Vengeance Records

6
Psychotic Reaction
00:03:54

The Cramps, MainArtist

(C) 2014 Vengeance Records (P) 2014 Vengeance Records

7
Beautiful Gardens
00:03:07

The Cramps, MainArtist

(C) 2014 Vengeance Records (P) 2014 Vengeance Records

8
She Said
00:05:18

The Cramps, MainArtist

(C) 2014 Vengeance Records (P) 2014 Vengeance Records

9
Surfin' Dead
00:04:12

The Cramps, MainArtist

(C) 2014 Vengeance Records (P) 2014 Vengeance Records

Chronique

Après deux années de délicatesse juridique (en rupture de ban avec leur label, et dans l’impossibilité contractuelle d’enregistrer le moindre nouveau disque), les Cramps reviennent sur le devant de la scène internationale, grâce à un mini-album, enregistré au Peppermint Lounge de New York (les 25 et 26 février 1983), et, donc, dans leur cour de récréation, en quelque sorte).



Kid Congo Powers tient toujours l’une des deux guitares, ce qui est une bonne nouvelle. Le groupe n’a rien perdu de son énergie tranchante, ce qui en une autre. Et la sélection de morceaux originaux, et de reprises, s’avère toujours aussi judicieuse, ce qui constitue un véritable conte de fées. Dans « Thee Most Exhalted Potentate of Love », le chanteur Lux Interior balbutie avec un talent unique, il génère avec « You Got Good Taste » un enthousiasme légèrement perverti, et « Surfin' Dead » (seule prise en studio) démontre à satiété que, si les Californiens n’ont rien compris aux Beach Boys, ils maîtrisent en revanche parfaitement l’odeur trouble et entêtante du rock de seconde zone.



On leur est également gré d’avoir exhumé l’une des chansons du violemment mammaire film de Russ Meyer (Faster, Pussycat ! Kill ! Kill !), en se demandant comment on avait pu faire sans, auparavant. Quant à la version du « Psychotic Reaction » des Count Five (éminemment représentant de la scène punk américaine des sixties), elle mesure en effet le gouffre qui sépare une démence feinte, de la pure psychose. Et l’illustration de pochette, toute en fumets délicats et moites, est très bien, aussi.









©Copyright Music Story 2015

À propos

Améliorer les informations de l'album

Qobuz logo Pourquoi acheter sur Qobuz ?

Les promotions du moment...

Money For Nothing

Dire Straits

Money For Nothing Dire Straits

The Studio Albums 2009 – 2018

Mark Knopfler

Brothers In Arms

Dire Straits

Brothers In Arms Dire Straits

Live 1978 - 1992

Dire Straits

Live 1978 - 1992 Dire Straits
À découvrir également
Par The Cramps

Bad Music For Bad People

The Cramps

How Far Can Too Far Go?

The Cramps

Psychedelic Jungle

The Cramps

Psychedelic Jungle The Cramps

Off The Bone

The Cramps

Off The Bone The Cramps

Songs The Lord Taught Us

The Cramps

Playlists

Dans la même thématique...

Wall Of Eyes

The Smile

Wall Of Eyes The Smile

All Born Screaming

St. Vincent

All Born Screaming St. Vincent

Born To Die

Lana Del Rey

Born To Die Lana Del Rey

In Times New Roman...

Queens Of The Stone Age

In Times New Roman... Queens Of The Stone Age

WHEN WE ALL FALL ASLEEP, WHERE DO WE GO?

Billie Eilish