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Johnny Hallyday|Mon pays c'est l'amour

Mon pays c'est l'amour

Johnny Hallyday

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Pour bien appréhender cet ultime album de Johnny Hallyday, il faut se replonger dans la vie du chanteur à ses débuts. Après une adolescence turbulente au sein des blousons noirs de « la bande de la Trinité », Johnny a fait ses humanités rock au Golf Drouot. À l’époque, c’était un club dont l’attraction majeure était un juke-box qui diffusait du Elvis Presley, du Chuck Berry ou du Bill Haley. Celui qui s’apprêtait à devenir « l'idole des jeunes » s’y sentait comme à la maison et c’est cette même familiarité que l’auditeur ressent instantanément à l’écoute de ce disque. C’est avant tout à travers le rythme de la danse que cette intimité se noue, comme si Johnny remontait le temps pour célébrer le déhanchement le plus libérateur et vivant qui soit. Du côté des paroles (écrites par une flopée d’auteurs tels que Miossec ou Pierre-Dominique Burgaud), l’ancien « élève rockeur » du Golf Drouot tourne principalement autour de deux thèmes qui hantent son répertoire depuis toujours: l’amour (Mon pays, c’est l’amourBack in LATomber encore) et la musique (Made in Rock’n’roll). Composées pour la plupart par Yodelice, les chansons les plus rock de cet album sont des parangons de générosité populaire, tout comme le morceau country-folk L’Amérique de William, qui exprime la fascination de Johnny pour ce pays qui est associé, là encore, à la figure de ses débuts (et au-delà). Trente-troos ans après le dramaturge Tennessee Williams, il rend hommage à un autre personnage marquant de la culture américaine, le photographe William Eggleston, célèbre pour ses clichés de stations-service, parkings et autres diners.

Rock’n’roll, country-folk… Le tableau musical ne serait pas complet sans ces ballades lyrico-mélancoliques dont seul Johnny a le secret, des ballades aux couleurs introspectives (Pardonne-moi) ou sociales (4 m2, sur l’univers carcéral). Qu’elle soit accompagnée d’arpèges de cordes jouées pizzicati dans la première, ou de guitares électriques dans la seconde, la voix à la fois déchirante et puissante de Johnny se fait l’écho idéal d’une souffrance individuelle ou collective. Même préoccupation philosophico-sociale dans le morceau de fin, Je ne suis qu’un homme, un rock symphonique et épique où il se voit comme un simple mortel, impuissant face aux aléas de cette « époque sans visage ». Toutes ces chansons, légères ou graves, tranchent avec celle, plus ambivalente, qui ouvre l’album : J’en parlerai au diable. Égrené d’accords de croches imperturbables joués au clavier Wurlitzer, ce dialogue sulfureux entre le chanteur et Lucifer s’inspire d’un standard de Ray Wylie Hubbard, Conversation with the Devil. Un peu à la manière de son Veau d’or vaudou de 1982, ce morceau fascinant met en lumière les ambiguïtés d’un Johnny à la fois « innocent et coupable ». Entre l’exaltation du corps et les zones d’ombre de l’esprit, cet album dresse un portrait fidèle d’un taulier qui, malgré l’absence, est loin d’être détrôné. © Nicolas Magenham/Qobuz

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Mon pays c'est l'amour

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1
J'en parlerai au diable
Johnny Hallyday
00:03:39

Dean Parks, Guitar - Brad Cole, Hammond Organ, Piano, Wurlitzer - Matt Chamberlain, Drums, Percussion - Johnny Hallyday, Vocals, MainArtist - Davey Faragher, Bass - Val McCallum, Guitar - Yodelice, Producer, Guitar, Hammond Organ, Writer - Pierre Jouishomme, Writer

© 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company ℗ 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company

2
Mon pays, c'est l'amour
Johnny Hallyday
00:02:42

Dean Parks, Guitar - Brad Cole, Hammond Organ, Piano, Wurlitzer - Matt Chamberlain, Drums, Percussion - Johnny Hallyday, Vocals, MainArtist - Davey Faragher, Bass - Val McCallum, Guitar - Yodelice, Composer, Producer, Guitar, Hammond Organ - Katia Landreas, Lyricist

© 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company ℗ 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company

3
Made in Rock'n'Roll
Johnny Hallyday
00:02:57

Dean Parks, Guitar - Brad Cole, Hammond Organ, Piano, Wurlitzer - Matt Chamberlain, Drums, Percussion - Johnny Hallyday, Vocals, MainArtist - Davey Faragher, Bass - Val McCallum, Guitar - Yodelice, Producer, Guitar, Hammond Organ - Pierre Dominique Burgaud, Adapter - JD Mc Pherson, Writer

© 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company ℗ 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company

4
Pardonne-moi
Chris Worsey
00:04:05

Dean Parks, Guitar - Steve Morris, Violin - Rick Koster, Violin - Richard Berry, French Horn - Fiona Bonds, Viola - Chris Worsey, Violoncello - Ian Burdge, Violoncello - Ed Tarrant, Bass Trombone - Everton Nelson, Violin - Ian Humphries, Violin - Steve Williams, Contrabass Bass - Yvan Cassar, Hammond Organ - Brad Cole, Hammond Organ, Piano, Wurlitzer - Matt Chamberlain, Drums, Percussion - Johnny Hallyday, Vocals, MainArtist - Nick Cooper, Violoncello - mary Scully, Contrabass Bass - Owen Slade, Tuba - Andy Wood, Tenor Trombone - Davey Faragher, Bass - Val McCallum, Guitar - Chris Tombling, Violin - Emlyn Singleton, Violin - Patrick Kiernan, Violin - Tom Pigott-Smith, Violin - Andy Parker, Viola - Cathy Thompson, Violin - Bruce White, Viola - Mark Berrow, Violin - Mark Nightingale, Tenor Trombone - Sonia Slany, Violin - Rita Manning, Violin - Richard Bissill, French Horn - Emma Owens, Viola - Max Baillie, Viola - Yarol Poupaud, Composer, Guitar, Bass - Allen Walley, Contrabass Bass - Joely Koos, Violoncello - Philip Eastop, French Horn - Kathy Gowers, Violin - Yodelice, Composer - Emil Chakalov, Violin - Oli Langford, Violin - Debbie Widdup, Violin - Alison Dods, Violin - Julia Knight, Viola - Natalia Bonner, Violin - Vicky Matthews, Violoncello - Yohann Malory, Lyricist - Phil Cobb, Trumpet - Steve Mair, Contrabass Bass - Tony Woollard, Violoncello - Jason Evans, Trumpet - Daniel Bhattacharya, Violin - Alistair Mackie, Trumpet - Miranda Dale, Violin - Oliver Heath, Violin - Martyn Jackson, Violin - Hervé Le Sourd, Lyricist - Katy Wooley, French Horn

© 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company ℗ 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company

5
Interlude
Johnny Hallyday
00:01:58

Dean Parks, Guitar - Brad Cole, Hammond Organ, Piano, Wurlitzer - Matt Chamberlain, Drums, Percussion - Johnny Hallyday, Vocals, MainArtist - Davey Faragher, Bass - Val McCallum, Guitar - Yodelice, Composer, Producer, Guitar, Hammond Organ

© 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company ℗ 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company

6
4m2
Johnny Hallyday
00:03:22

Dean Parks, Guitar - Brad Cole, Hammond Organ, Piano, Wurlitzer - Matt Chamberlain, Drums, Percussion - Johnny Hallyday, Vocals, MainArtist - Davey Faragher, Bass - Val McCallum, Guitar - Yodelice, Composer, Producer, Guitar, Hammond Organ - Pierre-Yves Lebert, Lyricist

© 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company ℗ 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company

7
Back in LA
Johnny Hallyday
00:03:58

Dean Parks, Guitar - Brad Cole, Hammond Organ, Piano, Wurlitzer - Matt Chamberlain, Drums, Percussion - Johnny Hallyday, Vocals, MainArtist - Davey Faragher, Bass - Val McCallum, Guitar - Yarol Poupaud, Composer - Yodelice, Composer, Producer, Guitar, Hammond Organ - Miossec, Lyricist

© 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company ℗ 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company

8
L'Amérique de William
Johnny Hallyday
00:02:58

Dean Parks, Guitar - Brad Cole, Hammond Organ, Piano, Wurlitzer - Matt Chamberlain, Drums, Percussion - Johnny Hallyday, Vocals, MainArtist - Davey Faragher, Bass - Val McCallum, Guitar - Jérome Attal, Lyricist - Yodelice, Composer, Producer, Guitar, Hammond Organ

© 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company ℗ 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company

9
Un enfant du siècle
Johnny Hallyday
00:03:47

Dean Parks, Guitar - Brad Cole, Hammond Organ, Piano, Wurlitzer - Matt Chamberlain, Drums, Percussion - Johnny Hallyday, Vocals, MainArtist - Davey Faragher, Bass - Val McCallum, Guitar - Yarol Poupaud, Composer - Yodelice, Composer, Producer, Guitar, Hammond Organ - Yohann Malory, Lyricist - Hervé Le Sourd, Lyricist

© 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company ℗ 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company

10
Tomber encore
Johnny Hallyday
00:03:31

Dean Parks, Guitar - Brad Cole, Hammond Organ, Piano, Wurlitzer - Matt Chamberlain, Drums, Percussion - Johnny Hallyday, Vocals, MainArtist - Davey Faragher, Bass - Val McCallum, Guitar - Yarol Poupaud, Composer - Yodelice, Composer, Producer, Guitar, Hammond Organ - Boris Lanneau, Lyricist

© 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company ℗ 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company

11
Je ne suis qu'un homme
Johnny Hallyday
00:04:26

Dean Parks, Guitar - Brad Cole, Hammond Organ, Piano, Wurlitzer - Matt Chamberlain, Drums, Percussion - Johnny Hallyday, Vocals, MainArtist - Davey Faragher, Bass - Val McCallum, Guitar - Yodelice, Composer, Producer, Guitar, Hammond Organ - Yohann Malory, Lyricist - Hervé Le Sourd, Lyricist

© 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company ℗ 2018 Warner Music France, A Warner Music Group Company

Chronique

Pour bien appréhender cet ultime album de Johnny Hallyday, il faut se replonger dans la vie du chanteur à ses débuts. Après une adolescence turbulente au sein des blousons noirs de « la bande de la Trinité », Johnny a fait ses humanités rock au Golf Drouot. À l’époque, c’était un club dont l’attraction majeure était un juke-box qui diffusait du Elvis Presley, du Chuck Berry ou du Bill Haley. Celui qui s’apprêtait à devenir « l'idole des jeunes » s’y sentait comme à la maison et c’est cette même familiarité que l’auditeur ressent instantanément à l’écoute de ce disque. C’est avant tout à travers le rythme de la danse que cette intimité se noue, comme si Johnny remontait le temps pour célébrer le déhanchement le plus libérateur et vivant qui soit. Du côté des paroles (écrites par une flopée d’auteurs tels que Miossec ou Pierre-Dominique Burgaud), l’ancien « élève rockeur » du Golf Drouot tourne principalement autour de deux thèmes qui hantent son répertoire depuis toujours: l’amour (Mon pays, c’est l’amourBack in LATomber encore) et la musique (Made in Rock’n’roll). Composées pour la plupart par Yodelice, les chansons les plus rock de cet album sont des parangons de générosité populaire, tout comme le morceau country-folk L’Amérique de William, qui exprime la fascination de Johnny pour ce pays qui est associé, là encore, à la figure de ses débuts (et au-delà). Trente-troos ans après le dramaturge Tennessee Williams, il rend hommage à un autre personnage marquant de la culture américaine, le photographe William Eggleston, célèbre pour ses clichés de stations-service, parkings et autres diners.

Rock’n’roll, country-folk… Le tableau musical ne serait pas complet sans ces ballades lyrico-mélancoliques dont seul Johnny a le secret, des ballades aux couleurs introspectives (Pardonne-moi) ou sociales (4 m2, sur l’univers carcéral). Qu’elle soit accompagnée d’arpèges de cordes jouées pizzicati dans la première, ou de guitares électriques dans la seconde, la voix à la fois déchirante et puissante de Johnny se fait l’écho idéal d’une souffrance individuelle ou collective. Même préoccupation philosophico-sociale dans le morceau de fin, Je ne suis qu’un homme, un rock symphonique et épique où il se voit comme un simple mortel, impuissant face aux aléas de cette « époque sans visage ». Toutes ces chansons, légères ou graves, tranchent avec celle, plus ambivalente, qui ouvre l’album : J’en parlerai au diable. Égrené d’accords de croches imperturbables joués au clavier Wurlitzer, ce dialogue sulfureux entre le chanteur et Lucifer s’inspire d’un standard de Ray Wylie Hubbard, Conversation with the Devil. Un peu à la manière de son Veau d’or vaudou de 1982, ce morceau fascinant met en lumière les ambiguïtés d’un Johnny à la fois « innocent et coupable ». Entre l’exaltation du corps et les zones d’ombre de l’esprit, cet album dresse un portrait fidèle d’un taulier qui, malgré l’absence, est loin d’être détrôné. © Nicolas Magenham/Qobuz

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