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La première satisfaction reste d’avoir vécu assez longtemps pour voir l’élément mineur du triumvirat yéyé (qu’il forme avec Eddy Mitchell et Johnny Hallyday) enregistrer pour ce qui reste comme le label emblématique d’une certaine approche hexagonale du rock indépendant, de Passy ou de Los Angeles.
Effectivement enregistré là-bas, Holly Days in Austin offre un hommage en vingt vignettes (adaptées en français par Bernard Droguet) au gentil (mais terriblement pertinent compositeur et efficace guitariste) Buddy Holly, prématurément disparu dans un accident d’avion. Tous les standards répondent à l’appel (« That’ll Be the Day », « Oh Boy », « Not Fade Away »), à l’exception de « Peggy Sue », ayant fait l’objet d’une adaptation antérieure.
Si l’on considère que tous ces refrains ont déjà été fredonnés par tout le monde, des Beatles aux Rolling Stones, on peut considérer à sa juste échelle la somme de culot du Français à s’attaquer à pareil projet. Et considérer que, mû par une réelle passion pour son illustre aîné et toute la saga qu’il symbolise (les pionniers du rock, l’innocence de l’époque, etc.), il s’en sort avec plus que les honneurs.
Le déficit majeur de l’entreprise reste l’usage du français dans des refrains inscrits dans l’inconscient collectif, plombant parfois certaines chansons. C’est sans nul doute là qu’il faut voir la décision prise d’enregistrer également ces séances en version originale.
©Copyright Music Story 2016
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Dick Rivers, MainArtist
1991 Mouche Records 1991 Mouche Records
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Chronique
La première satisfaction reste d’avoir vécu assez longtemps pour voir l’élément mineur du triumvirat yéyé (qu’il forme avec Eddy Mitchell et Johnny Hallyday) enregistrer pour ce qui reste comme le label emblématique d’une certaine approche hexagonale du rock indépendant, de Passy ou de Los Angeles.
Effectivement enregistré là-bas, Holly Days in Austin offre un hommage en vingt vignettes (adaptées en français par Bernard Droguet) au gentil (mais terriblement pertinent compositeur et efficace guitariste) Buddy Holly, prématurément disparu dans un accident d’avion. Tous les standards répondent à l’appel (« That’ll Be the Day », « Oh Boy », « Not Fade Away »), à l’exception de « Peggy Sue », ayant fait l’objet d’une adaptation antérieure.
Si l’on considère que tous ces refrains ont déjà été fredonnés par tout le monde, des Beatles aux Rolling Stones, on peut considérer à sa juste échelle la somme de culot du Français à s’attaquer à pareil projet. Et considérer que, mû par une réelle passion pour son illustre aîné et toute la saga qu’il symbolise (les pionniers du rock, l’innocence de l’époque, etc.), il s’en sort avec plus que les honneurs.
Le déficit majeur de l’entreprise reste l’usage du français dans des refrains inscrits dans l’inconscient collectif, plombant parfois certaines chansons. C’est sans nul doute là qu’il faut voir la décision prise d’enregistrer également ces séances en version originale.
©Copyright Music Story 2016
À propos
- 1 disque(s) - 20 piste(s)
- Durée totale : 00:52:20
- Artistes principaux : Dick Rivers
- Label : Mouche records
- Genre : Chanson française
1991 Mouche Records 1991 Mouche Records
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