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La contrainte attise la créativité, c’est une rengaine bien connue notamment chez les musiciens, qui aiment se fixer des limites pour mieux se dépasser. Et pour son premier album solo, Vince Clarke (cofondateur parti très vite de Depeche Mode avant de créer Erasure) se livre à un exercice de style en se fixant deux règles : 1) n’utiliser qu’un seul instrument, en l’occurrence l’Eurorack, un synthétiseur modulaire qu’il a appris à maitriser durant le Covid, et 2) que chaque titre ne soit basé que sur une seule note.
Alors évidemment, ça donne un album très sobre en termes d’instrumentation mais comme disait le Bauhaus, less is more. Surtout, Vince Clarke parvient à varier les plaisirs autour de cette règle qui aurait pu le condamner à une bande-son de film de science-fiction. Il y a de ça dans Passage, mais on trouve aussi de la techno (le psyché White Rabbit), du drone (Cathedral) ou des formes non identifiées comme Red Planet, qui s’écoute comme un corps vivant avec ce cœur qui bat traversé par des saillies électriques. Sur The Lamentations of Jeremiah, la saillie vient du violoncelle de son copain Reed Hays, qui, lui, a le droit à plus qu’une note, et apporte un peu de mélodie dans un disque où elle est latente presque de bout en bout, à l’instar du final, Last Transmission, autour du son d’une guitare électrique posée sur un ampli. Un disque pas évident mais au concept intéressant. © Smaël Bouaici/Qobuz
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Vince Clarke, Composer, Producer, MainArtist, MixingEngineer
2023 Mute Artists Ltd. 2023 Mute Artists Ltd.
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Vince Clarke, Composer, Producer, MainArtist, MixingEngineer - Reed Hays, Composer
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2023 Mute Artists Ltd. 2023 Mute Artists Ltd.
Chronique
La contrainte attise la créativité, c’est une rengaine bien connue notamment chez les musiciens, qui aiment se fixer des limites pour mieux se dépasser. Et pour son premier album solo, Vince Clarke (cofondateur parti très vite de Depeche Mode avant de créer Erasure) se livre à un exercice de style en se fixant deux règles : 1) n’utiliser qu’un seul instrument, en l’occurrence l’Eurorack, un synthétiseur modulaire qu’il a appris à maitriser durant le Covid, et 2) que chaque titre ne soit basé que sur une seule note.
Alors évidemment, ça donne un album très sobre en termes d’instrumentation mais comme disait le Bauhaus, less is more. Surtout, Vince Clarke parvient à varier les plaisirs autour de cette règle qui aurait pu le condamner à une bande-son de film de science-fiction. Il y a de ça dans Passage, mais on trouve aussi de la techno (le psyché White Rabbit), du drone (Cathedral) ou des formes non identifiées comme Red Planet, qui s’écoute comme un corps vivant avec ce cœur qui bat traversé par des saillies électriques. Sur The Lamentations of Jeremiah, la saillie vient du violoncelle de son copain Reed Hays, qui, lui, a le droit à plus qu’une note, et apporte un peu de mélodie dans un disque où elle est latente presque de bout en bout, à l’instar du final, Last Transmission, autour du son d’une guitare électrique posée sur un ampli. Un disque pas évident mais au concept intéressant. © Smaël Bouaici/Qobuz
À propos
- 1 disque(s) - 10 piste(s)
- Durée totale : 00:42:40
- Artistes principaux : Vince Clarke
- Compositeur : Various Composers
- Label : Mute
- Genre : Électronique
2023 Mute Artists Ltd. 2023 Mute Artists Ltd.
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