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Le troisième album de Frivolous est à plusieurs égards un album original dans sa discographie. On y retrouve la signature house et electro-jazz de ses précédents travaux mais sa musique gagne indéniablement en percussion et en synthèse. Le temps est au beau fixe.
Sa signature chez l’écurie Cadenza, chapotée par le très respecté Luciano, n’y est sûrement pas indifférente. C’est même certainement l’élément principal. Ses morceaux sont déjà plus longs (plus de la moitié font 6 minutes et plus) et sont très travaillés sur les atmosphères.
Frivolous y trouve le moyen de mieux poser ses compositions, de les faire partir progressivement et de les laisser évoluer de façon organisée. On le sent plus cadré, peut être moins hyperactif et désorganisé sans que son approche ludique de la musique ne soit remise en cause. Son propos y gagne alors beaucoup en impact.
Son côté touche-à-tout est toujours présent lui, que les fans des premiers temps se rassurent. Il est rare que deux titres successifs se ressemblent et explorent les mêmes pistes. Le contre-pied est resté un art chez lui. En l’espace de trois morceaux, on passe par exemple de l’electro-jazz d’«Allen Town Jail » à la house minimale groovy de « Cryin’ » puis aux atmosphères deep house sur « Back Into the Deep ». Frivolous y fait l’étalage de sa palette musicale et prouve qu’il est à l’aise sur différents terrains.
Les temps de pause sont aussi bien gérés, ce qui fait respirer l’album. « Rising » et « Lunar Phaser », intercallées au beau milieu de l’album, ne sont pas que des faire-valoir. D’ailleurs, le second nous rappelle étrangement le Frivolous des albums précédents, plus expérimental.
L’épilogue de ce Meteorology est aussi léger que les arabesques d’un cirrus estival. Avec peut être une petite pointe de mélancolie dans les atmosphères, on laisse défiler tranquillement « Cinemascopique » aux accents de tango, « Ostalgia » et ses cliquetis enfantins puis les voix suspendues de « Serenade des excentriques » avant que « Wasting Time » ne referme l’album en toute légèreté.
Frivolous signe ici son album le plus abouti et le label Cadenza lui offre une exposition idéale qui bénéficie aux deux parties. Groovy, équilibrée dans les ambiances, accrocheuse et définitivement mieux organisée sur ce troisième album, sa musique a gagné en maturité et crée une véritable bonne surprise en ce début d’année. Après son compatriote Caribou en 2010, c’est peut être au tour de Frivolous de planer sur l’année 2011.
©Copyright Music Story 2015
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Frivolous, Performer - Daniel Gardner, Composer
2011 Cadenza Records 2011 Cadenza Records
Frivolous, Performer - Daniel Gardner, Composer
2011 Cadenza Records 2011 Cadenza Records
Frivolous, Performer - Daniel Gardner, Composer
2011 Cadenza Records 2011 Cadenza Records
Frivolous, Performer - Daniel Gardner, Composer, Writer
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Frivolous, Performer - Daniel Gardner, Composer, Writer
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Frivolous, Performer - Daniel Gardner, Composer, Writer
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Frivolous, Performer - Daniel Gardner, Composer, Writer
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2011 Cadenza Records 2011 Cadenza Records
Frivolous, Performer - Daniel Gardner, Composer, Writer
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Frivolous, Performer - Daniel Gardner, Composer, Writer
2011 Cadenza Records 2011 Cadenza Records
Frivolous, Performer - Daniel Gardner, Composer, Writer
2011 Cadenza Records 2011 Cadenza Records
Chronique
Le troisième album de Frivolous est à plusieurs égards un album original dans sa discographie. On y retrouve la signature house et electro-jazz de ses précédents travaux mais sa musique gagne indéniablement en percussion et en synthèse. Le temps est au beau fixe.
Sa signature chez l’écurie Cadenza, chapotée par le très respecté Luciano, n’y est sûrement pas indifférente. C’est même certainement l’élément principal. Ses morceaux sont déjà plus longs (plus de la moitié font 6 minutes et plus) et sont très travaillés sur les atmosphères.
Frivolous y trouve le moyen de mieux poser ses compositions, de les faire partir progressivement et de les laisser évoluer de façon organisée. On le sent plus cadré, peut être moins hyperactif et désorganisé sans que son approche ludique de la musique ne soit remise en cause. Son propos y gagne alors beaucoup en impact.
Son côté touche-à-tout est toujours présent lui, que les fans des premiers temps se rassurent. Il est rare que deux titres successifs se ressemblent et explorent les mêmes pistes. Le contre-pied est resté un art chez lui. En l’espace de trois morceaux, on passe par exemple de l’electro-jazz d’«Allen Town Jail » à la house minimale groovy de « Cryin’ » puis aux atmosphères deep house sur « Back Into the Deep ». Frivolous y fait l’étalage de sa palette musicale et prouve qu’il est à l’aise sur différents terrains.
Les temps de pause sont aussi bien gérés, ce qui fait respirer l’album. « Rising » et « Lunar Phaser », intercallées au beau milieu de l’album, ne sont pas que des faire-valoir. D’ailleurs, le second nous rappelle étrangement le Frivolous des albums précédents, plus expérimental.
L’épilogue de ce Meteorology est aussi léger que les arabesques d’un cirrus estival. Avec peut être une petite pointe de mélancolie dans les atmosphères, on laisse défiler tranquillement « Cinemascopique » aux accents de tango, « Ostalgia » et ses cliquetis enfantins puis les voix suspendues de « Serenade des excentriques » avant que « Wasting Time » ne referme l’album en toute légèreté.
Frivolous signe ici son album le plus abouti et le label Cadenza lui offre une exposition idéale qui bénéficie aux deux parties. Groovy, équilibrée dans les ambiances, accrocheuse et définitivement mieux organisée sur ce troisième album, sa musique a gagné en maturité et crée une véritable bonne surprise en ce début d’année. Après son compatriote Caribou en 2010, c’est peut être au tour de Frivolous de planer sur l’année 2011.
©Copyright Music Story 2015
À propos
- 1 disque(s) - 11 piste(s)
- Durée totale : 01:01:46
- Artistes principaux : Frivolous
- Compositeur : Daniel Gardner
- Label : Cadenza records
- Genre : Électronique House
2011 Cadenza Records 2011 Cadenza Records
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