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Dark Dark Dark|Bright Bright Bright

Bright Bright Bright

Dark Dark Dark

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La musique de Dark Dark Dark est faite de sons et d’instrumentations issus des diverses régions des Etats Unis dont sont issus les membres du groupe. Les racines, c’est ce que recherchent Marshall LaCount, la chanteuse Nona Marie Invie, Jonathan Kaiser, Todd Chandler, Walter McClements et Brett Bullion dans leur musique folk, exaltée, où point la douleur au détour d’un accord, d’une inflexion de voix, d’un arpège délicat.

 



L’accordéon a toujours été le compagnon d’artistes qui aiment raconter des histoires, décrire des personnages dont on se sent proche (ici « Robert », « Heavy Heart »), qui nous touchent, tant leur peinture musicale intense et juste fait venir les larmes des yeux. Bien sur les ingrédients qui composent cette musique n’ont rien d’inédit. Il est même évident que les ficelles sont connues et utilisées intelligemment par Dark Dark Dark qui voit ces chansons comme des « espaces magiques ».


Le sextette se présente aussi comme un orchestre de musique de chambre. C’est parce que leurs compositions sont autant inspirées du classique et des maîtres minimalistes (Steve Reich, Philip Glass) que de la folk ou du songwriting. « Nobody Knows » en témoigne avec ses intonations empruntées à Kate Bush (une autre de leurs influences avouées) ou à la folkeuse Alela Diane. Il est probable aussi que si Arcade Fire voulait arrêter de faire de la musique pour stade, cela donnerait quelque chose comme « Right Path ».




Ce troisième album de Dark Dark Dark a été enregistré à l’ancienne, entièrement en analogique, pour garder cette chaleur de « soirée au coin du feu », que leur producteur Tom Herbers a souhaité chérir. On le comprend. Son travail d’arrangeur est à saluer car ce Wild Go est de loin le meilleur disque du groupe. Exemple de cette réussite, « Daydreaming », premier single et parfait ambassadeur de l’album. Il redore le blason de la chanteuse maladroite de « Benefit of the Doubt » ( titre paru sur The Snow Magic, premier album du groupe). A jouer avec les ombres, parfois, on trouve la lumière.




©Copyright Music Story 2021

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Bright Bright Bright

Dark Dark Dark

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1
Bright Bright Bright
00:04:30

Copyright Control, MusicPublisher - Dark Dark Dark, Composer, MainArtist

2010 Melodic 2010 Melodic

2
The Hand
00:03:43

Copyright Control, MusicPublisher - Dark Dark Dark, Composer, MainArtist

2010 Melodic 2010 Melodic

3
Something for Myself
00:04:51

Copyright Control, MusicPublisher - Dark Dark Dark, Composer, MainArtist

2010 Melodic 2010 Melodic

4
Make Time
00:03:39

Copyright Control, MusicPublisher - Dark Dark Dark, Composer, MainArtist

2010 Melodic 2010 Melodic

5
Flood
00:04:15

Copyright Control, MusicPublisher - Dark Dark Dark, Composer, MainArtist

2010 Melodic 2010 Melodic

6
Wild Goose Chase
00:04:25

Copyright Control, MusicPublisher - Dark Dark Dark, Composer, MainArtist

2010 Melodic 2010 Melodic

Chronique

La musique de Dark Dark Dark est faite de sons et d’instrumentations issus des diverses régions des Etats Unis dont sont issus les membres du groupe. Les racines, c’est ce que recherchent Marshall LaCount, la chanteuse Nona Marie Invie, Jonathan Kaiser, Todd Chandler, Walter McClements et Brett Bullion dans leur musique folk, exaltée, où point la douleur au détour d’un accord, d’une inflexion de voix, d’un arpège délicat.

 



L’accordéon a toujours été le compagnon d’artistes qui aiment raconter des histoires, décrire des personnages dont on se sent proche (ici « Robert », « Heavy Heart »), qui nous touchent, tant leur peinture musicale intense et juste fait venir les larmes des yeux. Bien sur les ingrédients qui composent cette musique n’ont rien d’inédit. Il est même évident que les ficelles sont connues et utilisées intelligemment par Dark Dark Dark qui voit ces chansons comme des « espaces magiques ».


Le sextette se présente aussi comme un orchestre de musique de chambre. C’est parce que leurs compositions sont autant inspirées du classique et des maîtres minimalistes (Steve Reich, Philip Glass) que de la folk ou du songwriting. « Nobody Knows » en témoigne avec ses intonations empruntées à Kate Bush (une autre de leurs influences avouées) ou à la folkeuse Alela Diane. Il est probable aussi que si Arcade Fire voulait arrêter de faire de la musique pour stade, cela donnerait quelque chose comme « Right Path ».




Ce troisième album de Dark Dark Dark a été enregistré à l’ancienne, entièrement en analogique, pour garder cette chaleur de « soirée au coin du feu », que leur producteur Tom Herbers a souhaité chérir. On le comprend. Son travail d’arrangeur est à saluer car ce Wild Go est de loin le meilleur disque du groupe. Exemple de cette réussite, « Daydreaming », premier single et parfait ambassadeur de l’album. Il redore le blason de la chanteuse maladroite de « Benefit of the Doubt » ( titre paru sur The Snow Magic, premier album du groupe). A jouer avec les ombres, parfois, on trouve la lumière.




©Copyright Music Story 2021

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