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Dès les premières secondes de ce septième album s’impose la voix de Christine Salem. Grave, impériale, puissante et mystérieuse. Avec un tel organe, elle pourrait chanter n’importe quoi. Mais elle n’a fait jamais ça et ne va pas commencer maintenant. Elle s’exprime d’abord à travers le maloya, la musique endémique de La Réunion, sortie de terre pour faire danser le peuple et communier avec les ancêtres. Christine Salem est née un 20 décembre, le jour de l’abolition de l’esclavage à La Réunion. Quand elle chante le maloya, elle se chante elle-même. Elle va chercher dans ses tripes, et au-delà, dans une histoire plus ancienne qu’elle, la force de chanter. Au plus profond, elle trouve le blues et ses dérivés, qui passent aussi dans son chant. La palette de Christine Salem est large. Pour ce Mersi, elle a choisi de travailler avec deux percussionnistes, le violoniste Frédéric Norel et le guitariste Seb Martel. Son maloya s’est affranchi des normes du genre, et modernisé, tirant vers le rock, la musique afro-latine, le séga et toujours le blues. Dolo, c’est son Baby Please Don’t Go, alors qu’elle évoque sur Gèryé la saudade de Cesaria Evora. Enluminé par les étonnantes guitares de Seb Martel, le Marc Ribot français, cet album échappe aux étiquettes. Christine Salem chante souvent dans une langue inconnue, et joue une musique qu’elle seule maîtrise, ancrée dans l’histoire et totalement contemporaine. C’est juste la musique de Salem, cette chanteuse un peu sorcière, et c’est magnifique. © Stéphane Deschamps/Qobuz
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Christine Salem, Composer, Lyricist, MainArtist
2020 Blue Fanal 2020 Blue Fanal
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Chronique
Dès les premières secondes de ce septième album s’impose la voix de Christine Salem. Grave, impériale, puissante et mystérieuse. Avec un tel organe, elle pourrait chanter n’importe quoi. Mais elle n’a fait jamais ça et ne va pas commencer maintenant. Elle s’exprime d’abord à travers le maloya, la musique endémique de La Réunion, sortie de terre pour faire danser le peuple et communier avec les ancêtres. Christine Salem est née un 20 décembre, le jour de l’abolition de l’esclavage à La Réunion. Quand elle chante le maloya, elle se chante elle-même. Elle va chercher dans ses tripes, et au-delà, dans une histoire plus ancienne qu’elle, la force de chanter. Au plus profond, elle trouve le blues et ses dérivés, qui passent aussi dans son chant. La palette de Christine Salem est large. Pour ce Mersi, elle a choisi de travailler avec deux percussionnistes, le violoniste Frédéric Norel et le guitariste Seb Martel. Son maloya s’est affranchi des normes du genre, et modernisé, tirant vers le rock, la musique afro-latine, le séga et toujours le blues. Dolo, c’est son Baby Please Don’t Go, alors qu’elle évoque sur Gèryé la saudade de Cesaria Evora. Enluminé par les étonnantes guitares de Seb Martel, le Marc Ribot français, cet album échappe aux étiquettes. Christine Salem chante souvent dans une langue inconnue, et joue une musique qu’elle seule maîtrise, ancrée dans l’histoire et totalement contemporaine. C’est juste la musique de Salem, cette chanteuse un peu sorcière, et c’est magnifique. © Stéphane Deschamps/Qobuz
À propos
- 1 disque(s) - 13 piste(s)
- Durée totale : 00:50:50
- Artistes principaux : Christine Salem
- Compositeur : Christine Salem
- Label : Blue Fanal
- Genre : Musiques du monde
2020 Blue Fanal 2020 Blue Fanal
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