The Blaze
Un nuage, de la fumée voire de la vapeur, peut-être. Et des images. Beaucoup d’images même… C’est la sensation qui se dégage de la musique de The Blaze. Derrière ce mystérieux sobriquet, deux cousins, Guillaume et Jonathan Alric, ayant conçu leur binôme comme une fusion entre musique et clip. C’est d’ailleurs par la diffusion de celui de la chanson Virile en janvier 2016 que ce nom de The Blaze commence à agiter la buzzosphère. Le titre parait même sur la très hype compilation Homieland, Vol. 2 de Bromance, le label de Brodinski et Manu Barron. Une identité visuelle marquante et décalée (l’appartement d’une cité pour Virile, Alger pour Territory) et un mystère sur leur état-civil qui en font les PNL de l’électro en moins de deux ! Mais ce qui aurait pu n’être qu’un coup marketing (plus d’1.200.000 vues sur YouTube, blablabla) s’est vite avéré musicalement assez fascinant.
Pour les oreilles, The Blaze conçoit des trips électro planants et lancinants. En interview, les cousins Alric sont on ne peut plus clairs : « Notre kif, c’est d’être en studio, faire du son et réfléchir à des clips. » Des clips mêlant violence, romantisme et ambiguïté et dont le EP qui parait au printemps 2017 est la B.O. parfaite. En à peine vingt minutes, ses six titres définissent un paysage en apesanteur. Une production urbaine, sombre et avançant au ralenti. Comme de la house décomposée, floutée et empreinte d’une certaine poésie. L’étrangeté de The Blaze est assez unique. Et si on connait la charge émotionnelle et le potentiel narratif des instrumentaux électro en général, The Blaze jongle avec comme nul autre... © MZ/Qobuz
Lire plusUn nuage, de la fumée voire de la vapeur, peut-être. Et des images. Beaucoup d’images même… C’est la sensation qui se dégage de la musique de The Blaze. Derrière ce mystérieux sobriquet, deux cousins, Guillaume et Jonathan Alric, ayant conçu leur binôme comme une fusion entre musique et clip. C’est d’ailleurs par la diffusion de celui de la chanson Virile en janvier 2016 que ce nom de The Blaze commence à agiter la buzzosphère. Le titre parait même sur la très hype compilation Homieland, Vol. 2 de Bromance, le label de Brodinski et Manu Barron. Une identité visuelle marquante et décalée (l’appartement d’une cité pour Virile, Alger pour Territory) et un mystère sur leur état-civil qui en font les PNL de l’électro en moins de deux ! Mais ce qui aurait pu n’être qu’un coup marketing (plus d’1.200.000 vues sur YouTube, blablabla) s’est vite avéré musicalement assez fascinant.
Pour les oreilles, The Blaze conçoit des trips électro planants et lancinants. En interview, les cousins Alric sont on ne peut plus clairs : « Notre kif, c’est d’être en studio, faire du son et réfléchir à des clips. » Des clips mêlant violence, romantisme et ambiguïté et dont le EP qui parait au printemps 2017 est la B.O. parfaite. En à peine vingt minutes, ses six titres définissent un paysage en apesanteur. Une production urbaine, sombre et avançant au ralenti. Comme de la house décomposée, floutée et empreinte d’une certaine poésie. L’étrangeté de The Blaze est assez unique. Et si on connait la charge émotionnelle et le potentiel narratif des instrumentaux électro en général, The Blaze jongle avec comme nul autre... © MZ/Qobuz
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