- 1 I. Adagio – Allegro
- 2 II. Allegro
- 3 I. Vivace
- 4 II. Andante
- 5 III. Vivace
- 6 IV. Presto
- 7 I. Largo
- 8 II. Presto
- 9 III. Vivace
- 10 I. Vivace
- 11 II. Grave
- 12 III. Allegro
- 13 I. Allegro
- 14 II. Largo
- 15 III. Allegro
- 16 I. Scherzando
- 17 II. Dolce
- 18 III. Spirituoso
- 19 I. Andante
- 20 II. Vivace
- 21 III. Allegro
- 22 I. Allegro
- 23 II. Grave
- 24 III. Vivace
- 25 I. Presto
- 26 II. Grave
- 27 III. Allegro
- 28 I. Dolce – Allegro
- 29 II. Siciliana
- 30 III. Scherzando
- 31 I. Allegro
- 32 II. Grave
- 33 III. Allegro
- 34 Fantasia in E Flat-Major, TWV 40:37: I. Andante
- 35 II. Allegro
- 36 Fantasia in E Flat-Major, TWV 40:37: III. Vivace
À propos
Alors que les douze fantaisies pour flûte solo et celles pour violon solo, toutes deux publiées dans les années 1730, furent maintes fois rééditées et circulèrent à travers l’Europe – de sorte que nombre de partitions ont toujours été disponibles –, les douze fantaisies pour viole de gambe de Telemann, également publiées à cette période, semblent avoir été perdues jusqu’en l’an 2000 : aucun exemplaire, aucune copie, aucun manuscrit, rien. Et un beau jour, l’ample fonds de bibliothèque d’un château près d’Osnabrück fut confié à la Bibliothèque nationale allemande, et après des années d’évaluation, miracle, on s’aperçut que parmi les trésors se trouvait le seul et unique exemplaire jusqu’ici existant de ces fantaisies pour gambe. Douze « nouvelles » œuvres de Telemann, l’aubaine pour tous les gambistes ! Dix d’entre elles sont écrites en trois mouvements, et seule la première n’en comporte que deux tandis que la deuxième, question d’équilibre d’édition peut-être, en compte quatre. Telemann égrène les tonalités sans trop d’ordre, car passées les quatre premières qui vont d’ut à fa, les autres zigzaguent allègrement. Les formats de ces fantaisies restent assez analogues de l’une à l’autre : les mouvements durent deux ou trois minutes, et c’est dans la technique d’écriture que Telemann s’aventure. Les tonalités les plus « faciles » pour l’instrumentiste, celles comportant le plus de cordes à vide, usent largement de polyphonie, alors que celles s’éloignant dans les tonalités plus rares développent un langage délicieusement mélodique. Le gambiste Richard Boothby, un disciple de Harnoncourt, s’est taillé un solide nom dans le milieu baroque en fondant le Quatuor Purcell en 1984, puis l’année suivante l’ensemble Fretwork, avec lequel il a entre autres enregistré une réécriture très remarquée des Variations Goldberg. © SM/Qobuz
Hi-Res 24 bits – 96.00 kHz
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