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Western-opéra s’étirant sur près de trois heures, le film de Sergio Leone, Il était une fois dans l’Ouest doit son succès autant à sa musique qu’à son image. Articulée autour des quatre protagonistes du film, cette magnifique bande originale est, au travers de 13 titres, le plus bel hommage musical qui puisse être rendu au Western. Lyrisme, violence et romantisme sont finement liés dans une interprétation de haute tenue par les fidèles musiciens du Maestro. Le thème pour harmonica, symbole de vengeance et de mort, est évidemment la plus fameuse illustration du film. Les trois notes ahanées par le musicien Franco de Gemini sont devenues mythiques dans l’histoire du cinéma et sont déclinées ici selon la souffrance ou la vengeance que s’apprête à accomplir («As a Judgement» et «Man with a Harmonica») le personnage interprété par Bronson, le tout renforcé par des cuivres soulignant la tragédie de la situation. Le thème principal du film, associé à l’unique personnage féminin, Jill-Claudia Cardinale («Once upon a time in the West», «Jill’s America», «Finale») apporte un sentiment de lyrisme pour lequel l’intervention de la soliste Edda Dell’Orso est tout bonnement bouleversant. La voix de la chanteuse émeut aux larmes et restitue à elle seule le grand Ouest filmé par Leone. Le thème de Jason Robards (Cheyenne) est illustré quant à lui au banjo («Farewell to Cheyenne») par Bruno Battisti d’Amario qui amène une certaine légèreté, impression renforcée par l’interprétation du siffleur vedette de Morricone, Alessandro Alessandroni. Enfin, c’est la cruauté du personnage d’Henry Fonda, Frank, qui est amenée par des percussions et des effets sonores («The Transgression», «The Man», «Death Rattle») mais surtout par les guitares électriques («As a Judgement») qui amènent une dimension anachronique apocalyptique. Les autres titres de l’album achèvent de planter le décor avec brio («The first Tavern», «The Second Tavern») selon que l’ambiance est étouffante, violente, parfois gaie — «Bad orchestra» offre comme son nom l’indique, une orchestration caricaturale avec piano bastringue — ou légère avec une variante pour violoncelle et vibraphone du thème principal dans «A Dimly Lit Room». Véritable chef-d’œuvre de l’histoire de la musique de film, Il était une fois dans l’Ouest, resté trois années durant parmi les cinquante meilleures ventes de disque en France, est l’album que se doit de posséder tout amateur du genre.
©Copyright Music Story 2016
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Ennio Morricone, Primary
2016 Universal Music Publishing Ricordi srl Universal Music Publishing Ricordi srl 2016
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Chronique
Western-opéra s’étirant sur près de trois heures, le film de Sergio Leone, Il était une fois dans l’Ouest doit son succès autant à sa musique qu’à son image. Articulée autour des quatre protagonistes du film, cette magnifique bande originale est, au travers de 13 titres, le plus bel hommage musical qui puisse être rendu au Western. Lyrisme, violence et romantisme sont finement liés dans une interprétation de haute tenue par les fidèles musiciens du Maestro. Le thème pour harmonica, symbole de vengeance et de mort, est évidemment la plus fameuse illustration du film. Les trois notes ahanées par le musicien Franco de Gemini sont devenues mythiques dans l’histoire du cinéma et sont déclinées ici selon la souffrance ou la vengeance que s’apprête à accomplir («As a Judgement» et «Man with a Harmonica») le personnage interprété par Bronson, le tout renforcé par des cuivres soulignant la tragédie de la situation. Le thème principal du film, associé à l’unique personnage féminin, Jill-Claudia Cardinale («Once upon a time in the West», «Jill’s America», «Finale») apporte un sentiment de lyrisme pour lequel l’intervention de la soliste Edda Dell’Orso est tout bonnement bouleversant. La voix de la chanteuse émeut aux larmes et restitue à elle seule le grand Ouest filmé par Leone. Le thème de Jason Robards (Cheyenne) est illustré quant à lui au banjo («Farewell to Cheyenne») par Bruno Battisti d’Amario qui amène une certaine légèreté, impression renforcée par l’interprétation du siffleur vedette de Morricone, Alessandro Alessandroni. Enfin, c’est la cruauté du personnage d’Henry Fonda, Frank, qui est amenée par des percussions et des effets sonores («The Transgression», «The Man», «Death Rattle») mais surtout par les guitares électriques («As a Judgement») qui amènent une dimension anachronique apocalyptique. Les autres titres de l’album achèvent de planter le décor avec brio («The first Tavern», «The Second Tavern») selon que l’ambiance est étouffante, violente, parfois gaie — «Bad orchestra» offre comme son nom l’indique, une orchestration caricaturale avec piano bastringue — ou légère avec une variante pour violoncelle et vibraphone du thème principal dans «A Dimly Lit Room». Véritable chef-d’œuvre de l’histoire de la musique de film, Il était une fois dans l’Ouest, resté trois années durant parmi les cinquante meilleures ventes de disque en France, est l’album que se doit de posséder tout amateur du genre.
©Copyright Music Story 2016
À propos
- 1 disque(s) - 27 piste(s)
- Durée totale : 01:04:46
- Artistes principaux : Ennio Morricone
- Label : Universal Music Publishing Ricordi srl
- Genre : Bandes originales Bandes originales de films
2016 Universal Music Publishing Ricordi srl Universal Music Publishing Ricordi srl 2016
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