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David Porcelijn|Röntgen: Symphonies Nos. 9 & 21

Röntgen: Symphonies Nos. 9 & 21

David Porcelijn, Brandenburgisches Staatsorchester Frankfurt

Livret numérique

Disponible en
16-Bit/44.1 kHz Stereo

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Ce Röntgen, Julius de son prénom, n’est pas à confondre avec Wilhelm, le découvreur des Rayons X… Notre Julius, Allemand de naissance et Néerlandais de carrière puis de naturalisation, nous a laissé rien moins que vingt-quatre symphonies, dont la grande majorité écrites entre 1926 et sa mort en 1932. La Neuvième, de 1930, marque une tentative – fort réussie d’ailleurs – d’écriture bitonale ; Röntgen s’était certes intéressé de près aux nouvelles techniques d’écriture, y compris l’atonalisme, mais son écriture reste quand même fermement ancré dans la tonalité « étendue », très chromatique et parfois assez difficile à cerner, telle que pratiquée par exemple par un Vaughan Williams tardif. La 21e Symphonie présentée en fin d’album revient d’ailleurs à ce langage, la bitonalité de la Neuvième n’étant qu’une sorte de parenthèse dans l’ample production du compositeur. En guise de témoignage de son parcours au long des décennies, l’on pourra également entendre sa Sérénade de 1902, un ouvrage encore très teinté de Brahms – un ami de longue date, d’ailleurs – et des deux Sérénades de son collègue. Röntgen, voilà bien un compositeur dont l’œuvre, d’une grande ampleur, demande encore à être remis au goût du jour. Le présent enregistrement est signé du chef néerlandais David Porcelijn à la tête de l’Orchestre de Francfort – plus précisément : de Frankfurt-an-der-Oder, qui n’a rien à voir avec Francfort-sur-le-Main. © SM/Qobuz

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Röntgen: Symphonies Nos. 9 & 21

David Porcelijn

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Symphony No. 9 "The Bitonal" (Julius Röntgen)

1
Symphony No. 9 "The Bitonal"
Brandenburgisches Staatsorchester Frankfurt
00:16:45

Brandenburgisches Staatsorchester Frankfurt, Orchestra - David Porcelijn, Conductor - Julius Röntgen, Composer

(C) 2017 CPO (P) 2017 CPO

Serenade in E Major (Julius Röntgen)

2
I. Moderato
Brandenburgisches Staatsorchester Frankfurt
00:06:52

Brandenburgisches Staatsorchester Frankfurt, Orchestra - David Porcelijn, Conductor - Julius Röntgen, Composer

(C) 2017 CPO (P) 2017 CPO

3
II. Allegretto con grazia
Brandenburgisches Staatsorchester Frankfurt
00:03:42

Brandenburgisches Staatsorchester Frankfurt, Orchestra - David Porcelijn, Conductor - Julius Röntgen, Composer

(C) 2017 CPO (P) 2017 CPO

4
III. Un poco andante
Brandenburgisches Staatsorchester Frankfurt
00:03:30

Brandenburgisches Staatsorchester Frankfurt, Orchestra - David Porcelijn, Conductor - Julius Röntgen, Composer

(C) 2017 CPO (P) 2017 CPO

5
IV. Allegro molto
Brandenburgisches Staatsorchester Frankfurt
00:05:36

Brandenburgisches Staatsorchester Frankfurt, Orchestra - David Porcelijn, Conductor - Julius Röntgen, Composer

(C) 2017 CPO (P) 2017 CPO

Symphony No. 21 in A Minor (Julius Röntgen)

6
Symphony No. 21 in A Minor
Brandenburgisches Staatsorchester Frankfurt
00:19:08

Brandenburgisches Staatsorchester Frankfurt, Orchestra - David Porcelijn, Conductor - Julius Röntgen, Composer

(C) 2017 CPO (P) 2017 CPO

Chronique

Ce Röntgen, Julius de son prénom, n’est pas à confondre avec Wilhelm, le découvreur des Rayons X… Notre Julius, Allemand de naissance et Néerlandais de carrière puis de naturalisation, nous a laissé rien moins que vingt-quatre symphonies, dont la grande majorité écrites entre 1926 et sa mort en 1932. La Neuvième, de 1930, marque une tentative – fort réussie d’ailleurs – d’écriture bitonale ; Röntgen s’était certes intéressé de près aux nouvelles techniques d’écriture, y compris l’atonalisme, mais son écriture reste quand même fermement ancré dans la tonalité « étendue », très chromatique et parfois assez difficile à cerner, telle que pratiquée par exemple par un Vaughan Williams tardif. La 21e Symphonie présentée en fin d’album revient d’ailleurs à ce langage, la bitonalité de la Neuvième n’étant qu’une sorte de parenthèse dans l’ample production du compositeur. En guise de témoignage de son parcours au long des décennies, l’on pourra également entendre sa Sérénade de 1902, un ouvrage encore très teinté de Brahms – un ami de longue date, d’ailleurs – et des deux Sérénades de son collègue. Röntgen, voilà bien un compositeur dont l’œuvre, d’une grande ampleur, demande encore à être remis au goût du jour. Le présent enregistrement est signé du chef néerlandais David Porcelijn à la tête de l’Orchestre de Francfort – plus précisément : de Frankfurt-an-der-Oder, qui n’a rien à voir avec Francfort-sur-le-Main. © SM/Qobuz

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