Souplesse claire et naturelle dans le répertoire français, virtuosité dramatique chez Rossini, intensité chez Wagner, Mahler ou dans les lieder de Wolf, Schumann ou Strauss, la palette de cette Marilyn qui s’est retirée depuis une dizaine d’années demeure une reine dans le chant d’agilité. La voici à Rome en 1977 dans l’air Di tanti palpiti de Tancredi de Rossini :
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