Pop et folk, l’osmose parfaite orchestrée par Zach Condon de Beirut…

Les mauvaises langues prédisaient un essoufflement. Du radotage. Un replay permanant du génial Gulak Orkestar sorti il y a plus de cinq ans… Les fans, eux, savaient que l’Américain Zach Condon était béni des dieux de la mélodie. Et ses prédispositions à transformer ses expériences balkaniques folkloriques en symphonies de pop pure atteignent un haut niveau sur The Rip Tide, nouvel album de Beirut dont est extrait l’entêtant Santa Fé :