Avec Minimalist Dream House, les sœurs Labèque célèbrent un demi siècle de minimalisme, de ses origines à son influence sur la scène rock comme electro. Rencontre avec deux passionnées, toujours aussi avides de découvertes et de remises en question.

On les connaissait chez Berio et Messiaen, mais pas chez Terry Riley ou John Cage... Avec le nouveau projet Minimalist Dream House, Katia et Marielle Labèque célèbrent cinquante ans de minimalisme, des racines à ses influences plus récentes dans le rock comme dans l’electro (Sonic Youth, Brian Eno, Radiohead ou même Aphex Twin). Reconnaissant avoir zappé cet influent courant durant les années 60 et 70, les célèbres sœurs plongent aujourd’hui leurs quatre mains dans un matériau dense, alternant entre les styles et les textures musicales. Un minimalisme revisité qu’elles promèneront également sur la scène de la Cité de la Musique, les 18, 19 et 20 février, entourées de musiciens venant du rock alternatif et de la musique expérimentale (Nicola Tescari aux claviers, David Chalmin à la guitare électrique, Raphaël Séguinier aux percussions et Alexandre Maillard à la basse). A quel moment de leur déjà ample et éclectique carrière ce projet intervient-il ? Et quel impact a-t-il eu sur leur jeu ? Katia et Marielle Labèque reviennent sur la genèse de cette Minimalist Dream House aux multiples recoins.

Le making-of du podcast:

Katia & Marielle Labèque chez Qobuz - Le making-of du podcast

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