Depuis la fin des années 80, le Trio Rosenberg est une des valeurs sûres du jazz manouche. Un vent de fraîcheur sincère et sans concession. Le guitariste soliste Stochelo Rosenberg, Nous’che, son cousin à la guitare rythmique, et Nonnie à la contrebasse ne font guère de taxidermie et réussissent à chaque nouvel album à rendre contemporain un style parfois galvaudé…
Lors d’une escale parisienne au Duc des Lombards, à l’occasion de la sortie d’un nouvel album du trio batave en hommage à Stéphane Grappelli, Stochelo Rosenberg, digne héritier de Django, s’est confié sur son style, ses racines et même sur les différences stylistiques entre chaque type de jazz manouche européen.
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