L’incontournable Dvořák d’un côté. L’oublié Herbert de l’autre. Entre ces deux concertos, Gautier Capuçon. Rencontre avec le jeune violoncelliste aussi à l’aise dans le répertoire classique que romantique et moderne.

A 27 ans seulement et un CV à faire trembler ses confrères, Gautier Capuçon n’est (heureusement) toujours pas blasé. Croisant le fer avec des personnalités aussi fortes et diverses que son frère Renaud, Martha Argerich, Daniel Barenboim, Stephen Kovacevich, Hélène Grimaud, Marielle et Katia Labèque, Nicholas Angelich et tant d’autres, le violoncelliste de Chambéry, aussi à l’aise dans le répertoire classique que romantique et moderne, publie chez Virgin Classics un album constitué de l’incontournable Concerto pour violoncelle en si mineur B191, op.104 de Dvořák, couplé avec une pièce bien moins connue, le Concerto pour violoncelle n°2 en mi mineur, op. 30 de l’Américain Victor Herbert. Le temps d’un podcast, Capuçon explique ce choix et revient sur sa déjà longue carrière.

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