Et puisqu’il y a une vie (survie ?) après Taxi Girl, Daniel Darc poursuit ses lumineuses pérégrinations sur un chemin fait de rêves (de cauchemars aussi…), de chaos intérieurs et d’éclairs. Sur son cinquième opus solo, La Taille de mon âme, sa prose à vif est toujours soupesée, souvent chantée, parfois parlée. Gainsbourien à certains instants, Darc se fait christique (mais humain) tant ses mots surpassent la production actuelle. Amen.
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