Projet initié par Pierre Boulez, repris par Peter Eötvös et poursuivi par Valery Gergiev, l'intégrale des symphonies Brahms/Szymanowski touche à sa fin, salle Pleyel le samedi 15 et dimanche 16 décembre.

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Le samedi 15 et dimanche 16 décembre seront donnés à Pleyel les derniers volets de l'intégrale symphonique croisée Brahms/Szymanowski, que propose Valery Gergiev à la tête du London Symphony Orchestra. Ces deux concerts dévoileront d'autres pages symphoniques des deux compositeurs. Pour l'occasion, Valery Gergiev, s’adjoint le concours d’éminents solistes : le ténor Toby Spencer (le 15/12), le violoniste Leonidas Kavakos et le pianiste Denis Matsuev (le 16/12). A ne pas manquer !

Suite ... : samedi 15 décembre 20h00 - Salle Pleyel

Avant-dernier volet de l’intégrale symphonique croisée que propose Valery Gergiev, à la tête de flamboyants effectifs londoniens, avec le soutien de l’Institut Adam Mickiewicz et de l’Institut Polonais de Paris. Créées à Vienne par l’auteur, fondées sur un Choral de Saint-Antoine faussement attribué à Haydn, les huit variations et finale de Brahms (1873) révèlent une architecture impeccable, comme celle de la Symphonie en fa majeur dont le Poco allegretto compte parmi les pages mélancoliques les plus célèbres du compositeur (1883). Publié en Ukraine après un long périple en orient, l’op. 27 de Szymanowski (1916) magnifie un poème mystique persan en un vaste Chant de nuit d’un seul tenant, capiteux et grisant dans la veine Scriabine-Debussy.

Pour plonger intégralement dans ce concert, une conférence est donné à 18h30 en présence de Didier van Moere, musicologue et biographe de Karol Szymanowski. Strictement réservée aux personnes munies de billet pour le concert du soir. (renseignements sur le site de la salle Pleyel).

... et fin : dimanche 16 décembre 16h - Salle Pleyel

L'ultime symphonie de Szymanowski, œuvre concertante dédiée au pianiste Arthur Rubinstein (op. 60) appartient à la dernière période créatrice du compositeur comme le Concerto pour violon qui la suit (op. 61, offert à Paul Kochanski) : chaque fois leurs trois mouvements sont marqués par la prégnance de l’élément folklorique polonais (1932-33). Achevée en 1885, la dernière symphonie de Brahms (op. 98) est une cathédrale aux couleurs automnales, dont la passacaille finale est issue de Bach.

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