Philharmonics, le premier album d’Agnes Obel, était un petit bijou mélodique : piano et voix évoluaient dans une atmosphère rêveuse et intimiste. Dans son deuxième opus Aventine, à paraître le 30 septembre, la Danoise repousse les murs et élargit le champ des possibles musicaux. D’inspiration berlinoise, ce nouvel album semble plus ambitieux, peut-être plus planant encore, et jamais racoleur. Il augmente la palette instrumentale d’une viole, d’un violoncelle… Les mélodies restent pour autant très épurées, confirmant la personnalité unique d’Agnes Obel.
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