Il y a un an disparaissait le violoncelliste Janos Starker...

« Je suis celui dont la flamme intérieure gèle l’air autour de lui » Froideur de façade pour feu intérieur, le génie de Janos Starker a irradié l’histoire du violoncelle de la seconde partie du XXe siècle. Il y a un an jour pour jour, le 28 avril 2013, disparaissait celui qui fut l’un des musiciens les plus exigeants de son temps. Enfant prodige, le virtuose hongrois naturalisé américain en 1954, consacrera également sa vie à la transmission et à l’enseignement pour, comme il le disait, « faire perdurer une tradition musicale ancestrale »... Une tradition copieusement documenté au disque dans toutes les pièces majeures du répertoire pour violoncelle et à déguster sur Qobuz en Qualité CD et à regarder dans Cassadó, Kodály et Bach comme ici :

Janos Starker - Bach Cello Suite 3 IV. Sarabande

Cayo255