Catégories :
Panier 0

Votre panier est vide

Astonvilla|De Jour Comme de Nuit

De Jour Comme de Nuit

Astonvilla

Disponible en
16-Bit/44.1 kHz Stereo

Musique illimitée

Écoutez cet album en haute-qualité dès maintenant dans nos applications

Démarrer ma période d'essai et lancer l'écoute de cet album

Profitez de cet album sur les apps Qobuz grâce à votre abonnement

Souscrire

Profitez de cet album sur les apps Qobuz grâce à votre abonnement

Téléchargement digital

Téléchargez cet album dans la qualité de votre choix

Regarde-moi/Dans les yeux/Tout ce que tu vois/C’est pas Dieu/Regarde-toi/Dans mes yeux/Tu vois ce qu’je vois/C’est pas mieux : il faut y croire.

Il faut être nourri de davantage qu’une simple passion pour l’électricité pour, comme Astonvilla (le football, bien sûr, mais également Pancho Villa, et l’Aston Martin de Sean 007 Connery) souffler les bougies d’un dixième anniversaire, trouver asile dans presque autant de labels, gérer les départs de certaines chevilles ouvrières, et se relever d’une Victoire de la Musique de la Découverte de l’année (2002).

De la scène des Transmusicales au troquet du coin, d’une tournée argentine à des festivals inconnus, ce groupe a tout connu, et son moindre mérite n’est pas d’être toujours debout. Il faut être reconnaissant. Il faut saluer ces artistes de l’ombre, banlieusards têtus (ou déterminés, c’est selon) qui nous accompagnent depuis plus d’une décennie.

Il faut ne pas avancer masqué. Il faut assumer un engagement auprès de l’association Attac, comme la suite logique de l’amour d’Astonvilla pour une musique de liberté. Il faut oser. Il faut avoir le culot d’entamer un album largement francophone par un hommage en anglais dans le texte aux Clash et à…La Souris Déglinguée. Et de poursuivre par un élixir de jouvence offert au rock (« Coming Out ») ou de s’effondrer dans une ballade à forte teneur en alcool (« Champagne »).

Il faut creuser le sujet. Il faut aller à l’essentiel de De Jour Comme De Nuit, fouiller jusqu’à l’os ces chansons d’inspiration citoyenne (Elle dit qu’elle veut se pendre/Moi je lui dis d’attendre/Que la République se refasse dans les urnes) ou antimilitaristes (car les guitares restent définitivement plus fréquentables que les fusils). Y reconnaître comme la preuve irréfutable que le capitalisme libéral n’est pas soluble dans la rage de vivre (« A Vendre »), et que le doute construit : C’est décidé après Noël, j’arrête/Dans le mois qui va suivre, je la quitte.

Il faut être curieux, et ouvrir les oreilles. Il faut écouter De Jour Comme De Nuit, album d’Aston Villa : ce disque a autant à nous apprendre sur ses musiciens que sur nous-mêmes.  

©Copyright Music Story 2015

Plus d'informations

De Jour Comme de Nuit

Astonvilla

launch qobuz app J'ai déjà téléchargé Qobuz pour Mac OS Ouvrir

download qobuz app Je n'ai pas encore téléchargé Qobuz pour Mac OS Télécharger l'app

Vous êtes actuellement en train d’écouter des extraits.

Écoutez plus de 100 millions de titres avec votre abonnement illimité.

Écoutez cette playlist et plus de 100 millions de titres avec votre abonnement illimité.

À partir de 12,49€/mois

1
Rockmusic
00:03:02

Astonvilla, interprète

2005 naïve 2005 naïve

2
Regarde-moi
00:04:00

Astonvilla, interprète

2005 naïve 2005 naïve

3
Un homme bien
00:04:31

Astonvilla, interprète

2005 naïve 2005 naïve

4
Un million de lézards
00:03:51

Astonvilla, interprète

2005 naïve 2005 naïve

5
Coming out
00:03:54

Astonvilla, interprète

2005 naïve 2005 naïve

6
Champagne
00:04:37

Astonvilla, interprète

2005 naïve 2005 naïve

7
De jour comme de nuit
00:03:58

Astonvilla, interprète

2005 naïve 2005 naïve

8
Ma blonde
00:05:02

Astonvilla, interprète

2005 naïve 2005 naïve

9
Croiser le fer
00:03:55

Astonvilla, interprète

2005 naïve 2005 naïve

10
Tête de lune
00:04:42

Astonvilla, interprète

2005 naïve 2005 naïve

11
Soldier
00:04:18

Astonvilla, interprète

2005 naïve 2005 naïve

12
Italy
00:04:14

Astonvilla, interprète

2005 naïve 2005 naïve

13
A vendre
00:06:56

Astonvilla, interprète

2005 naïve 2005 naïve

Chronique

Regarde-moi/Dans les yeux/Tout ce que tu vois/C’est pas Dieu/Regarde-toi/Dans mes yeux/Tu vois ce qu’je vois/C’est pas mieux : il faut y croire.

Il faut être nourri de davantage qu’une simple passion pour l’électricité pour, comme Astonvilla (le football, bien sûr, mais également Pancho Villa, et l’Aston Martin de Sean 007 Connery) souffler les bougies d’un dixième anniversaire, trouver asile dans presque autant de labels, gérer les départs de certaines chevilles ouvrières, et se relever d’une Victoire de la Musique de la Découverte de l’année (2002).

De la scène des Transmusicales au troquet du coin, d’une tournée argentine à des festivals inconnus, ce groupe a tout connu, et son moindre mérite n’est pas d’être toujours debout. Il faut être reconnaissant. Il faut saluer ces artistes de l’ombre, banlieusards têtus (ou déterminés, c’est selon) qui nous accompagnent depuis plus d’une décennie.

Il faut ne pas avancer masqué. Il faut assumer un engagement auprès de l’association Attac, comme la suite logique de l’amour d’Astonvilla pour une musique de liberté. Il faut oser. Il faut avoir le culot d’entamer un album largement francophone par un hommage en anglais dans le texte aux Clash et à…La Souris Déglinguée. Et de poursuivre par un élixir de jouvence offert au rock (« Coming Out ») ou de s’effondrer dans une ballade à forte teneur en alcool (« Champagne »).

Il faut creuser le sujet. Il faut aller à l’essentiel de De Jour Comme De Nuit, fouiller jusqu’à l’os ces chansons d’inspiration citoyenne (Elle dit qu’elle veut se pendre/Moi je lui dis d’attendre/Que la République se refasse dans les urnes) ou antimilitaristes (car les guitares restent définitivement plus fréquentables que les fusils). Y reconnaître comme la preuve irréfutable que le capitalisme libéral n’est pas soluble dans la rage de vivre (« A Vendre »), et que le doute construit : C’est décidé après Noël, j’arrête/Dans le mois qui va suivre, je la quitte.

Il faut être curieux, et ouvrir les oreilles. Il faut écouter De Jour Comme De Nuit, album d’Aston Villa : ce disque a autant à nous apprendre sur ses musiciens que sur nous-mêmes.  

©Copyright Music Story 2015

À propos

Améliorer les informations de l'album

Qobuz logo Pourquoi acheter sur Qobuz ?

Les promotions du moment...

Speak Now (Taylor's Version)

Taylor Swift

Money For Nothing

Dire Straits

Money For Nothing Dire Straits

Live 1978 - 1992

Dire Straits

Live 1978 - 1992 Dire Straits

1989 (Taylor's Version)

Taylor Swift

À découvrir également
Par Astonvilla

Strange

Astonvilla

Strange Astonvilla

Aston Villa

Astonvilla

Aston Villa Astonvilla

Julia

Astonvilla

Julia Astonvilla

Live

Astonvilla

Live Astonvilla

Superspectives

Astonvilla

Superspectives Astonvilla
Dans la même thématique...

Le bestiaire

Malicorne

Le bestiaire Malicorne

Le péril jaune

Indochine

Le péril jaune Indochine

Zanzibar

Johnny Montreuil

Zanzibar Johnny Montreuil

Paradize

Indochine

Paradize Indochine

L'aventurier

Indochine

L'aventurier Indochine