Compositeur et pianiste au champ de vision proche des 360°, Denis Levaillant enchaine les projets avec la même fougue et le même investissement. A l’image de l’album qu’il consacre à Liszt et dont il évoque la genèse le temps d’une rencontre-podcast.

Musique classique, contemporaine, électronique, jazz et plus encore. Denis Levaillant est un incroyable touche à tout nourri par la diversité de ses projets et des rencontres. La danse (Dominique Bagouet, Dominique Petit, Stéphanie Aubin, Brigitte Lefèvre), le théâtre (Alain Françon) mais aussi l’écriture (L'Improvisation Musicale et Le Piano) viennent aussi enrichir un parcours impressionnant. Parcours tout au long duquel il a croisé la route de personnalités aussi diverses que Pierre Rigaud, Jean-Jacques Avenel, Didier Levallet, Mino Cinelu, Jean-Louis Chautemps, Pierre Favre, Tony Coe, Kenny Wheeler, Jean-François Jenny-Clark, Michel Portal, Barry Altschul ou bien encore Barre Phillips. Levaillant vient de publier Le Dernier pèlerinage, un programme qu’il avait créé en 1986 pour le centenaire de la mort de Liszt. Il l’a cette fois enregistré pour fêter le bicentenaire de sa naissance. Comment enchaine-t-il les projets aussi différents les uns des autres et surtout où se cache l’origine d’une telle gloutonnerie. Le temps d’un podcast, Denis Levaillant se confie.

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