Pour arriver à un tel tour de magie, le bonhomme a surtout le mérite de savoir composer. Plutôt bien, même. Et de toujours avoir su garder les écoutilles bien ouvertes, sans pour autant faire de jeunisme… On sait son attirance récente pour les doués Arcade Fire et autres TV On The Radio, Bowie a toujours su insuffler à son rock le léger voile de l’air du temps. Juste léger. De la sorte, ses compositions traversent ce même temps avec la même légèreté. Comme cet intemporel et si génialement mélancolique Ashes To Ashes de 1980 le montre aisément :
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