Oubliez l’electro pop, la nu soul, le néo baroque, le post rock et même le dubstep. Un coup d’œil dans le rétroviseur, les années 50 plus précisément, avec Imelda May et son Love Tattoo. Entre rockabilly vintage et jazz crooner de club enfumé, la chanteuse irlandaise jongle brillamment avec l’héritage de Wanda Jackson et Dinnah Washington. Voix racée, guitares demi-caisse en ligne de mire et contrebasse slappée violemment, rien ne manque à l’appel de cette délicieuse friandise rétro comme il faut.
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