Après avoir défriché la Médiocre Parcelle au cube, Qobuz verra-t-il fleurir partout des champs de beau son ?

La SACEM (Société des Auteurs Compositeurs et Editeurs de Musique), organisme dont l'un des principaux rôles est de veiller à la collecte des droits liés à la vente et la diffusion d'oeuvres musicales et à la bonne rétribution des ayants droit, vient de publier dans MAGSACEM un article où il est fortement question de qualité sonore.

Il y est entre autre abordé la question du "mastering", étape important de la réalisation du fichier audio numérique que vous pourrez acquérir soit sous forme de galette irisée en 16 bits à 44,1 kHz, soit sous forme de téléchargement sur votre site préféré Qobuz, à ce même échantillonnage, voire éventuellement au-delà en qualité Studio Masters.

Au sujet du mastering, cet article nous apprend, et cela est surprenant, qu'assez peu d'artistes sont au courant du rôle crucial de cette étape. Il y a donc un travail continu de communication à établir entre l'artiste et l'ingénieur du son.

C'est bien sûr la musique dématérialisée qui occupe une grande partie de cette article et surtout la problématique de la qualité sonore, fortement mise à mal par les formats compressés et contre lesquels quelques francs-tireurs, dont Qobuz, mènent un combat au nom du "beau son".

Il y est également question de Radio France qui est très active dans le domaine de la qualité sonore et vient de lancer son site nouvOson.

Si vous le souhaitez, vous pouvez lire l'intégralité de cet article en suivant ce lien.