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Les Black Keys sont devenus au fil du temps un groupe très populaire, du genre à jouer dans les stades, en 2010 avec leur sixième album Brothers. Le design de la pochette était un hommage à un album controversé de Howlin’ Wolf (This Is Howlin’ Wolf’s New Album. He Doesn’t Like It…), et c’était un signe. Le signe que toute la musique qu’ils aiment, elle vient de là, elle vient du blues, même si on a le droit d’aller voir ailleurs. Ils ont commencé comme ça, en jouant du blues en duo dans leur Midwest industriel natal (Akron, Ohio), tout en rêvant des juke joints électriques du Mississippi. Les Black Keys n’ont jamais autant aimé le blues que sur Thickfreakness, leur deuxième album (et pour les amateurs de blues, leur meilleur). Le disque où Dan Auerbach taillait des steaks dans le ventre mou du blues en jouant de la guitare hachoir avec un son surpuissant, celui où le batteur Pat Carney semblait jouer pour se calmer les nerfs après une journée à l’usine. Ils avaient alors la foi, la rage et la faim au ventre, par encore lassés ni repus par le succès. Autant inspirés par le blues électrique du Nord du Mississippi (Junior Kimbrough notamment) que par le proto-punk (des Sonics, dont ils reprennent Have Love Will Travel, aux Stooges), les Black Keys inventaient alors leur propre mythologie. Ecouter ce disque très fort, c’est comme sortir la tête par la fenêtre d’une voiture qui roule vite sur une route cramée par le soleil. Sans les moucherons entre les dents. © Stéphane Deschamps/Qobuz
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Not Documented, Composer - The Black Keys, MainArtist
(C) 2003 Fat Posssum Records (P) 2003 Fat Possum Records, LLC
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(C) 2003 Fat Posssum Records (P) 2003 Fat Possum Records, LLC
Chronique
Les Black Keys sont devenus au fil du temps un groupe très populaire, du genre à jouer dans les stades, en 2010 avec leur sixième album Brothers. Le design de la pochette était un hommage à un album controversé de Howlin’ Wolf (This Is Howlin’ Wolf’s New Album. He Doesn’t Like It…), et c’était un signe. Le signe que toute la musique qu’ils aiment, elle vient de là, elle vient du blues, même si on a le droit d’aller voir ailleurs. Ils ont commencé comme ça, en jouant du blues en duo dans leur Midwest industriel natal (Akron, Ohio), tout en rêvant des juke joints électriques du Mississippi. Les Black Keys n’ont jamais autant aimé le blues que sur Thickfreakness, leur deuxième album (et pour les amateurs de blues, leur meilleur). Le disque où Dan Auerbach taillait des steaks dans le ventre mou du blues en jouant de la guitare hachoir avec un son surpuissant, celui où le batteur Pat Carney semblait jouer pour se calmer les nerfs après une journée à l’usine. Ils avaient alors la foi, la rage et la faim au ventre, par encore lassés ni repus par le succès. Autant inspirés par le blues électrique du Nord du Mississippi (Junior Kimbrough notamment) que par le proto-punk (des Sonics, dont ils reprennent Have Love Will Travel, aux Stooges), les Black Keys inventaient alors leur propre mythologie. Ecouter ce disque très fort, c’est comme sortir la tête par la fenêtre d’une voiture qui roule vite sur une route cramée par le soleil. Sans les moucherons entre les dents. © Stéphane Deschamps/Qobuz
À propos
- 1 disque(s) - 11 piste(s)
- Durée totale : 00:38:40
- Artistes principaux : The Black Keys
- Compositeur : Not Documented
- Label : Fat Possum
- Genre : Pop/Rock Rock Alternatif et Indé
(C) 2003 Fat Posssum Records (P) 2003 Fat Possum Records, LLC
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