Votre panier est vide

Seattle Symphony - Marc-André Dalbavie: La source d'un regard & Concertos

Mes favoris
Cet élément a bien été ajouté / retiré de vos favoris.
Marc-André Dalbavie: La source d'un regard & Concertos
Ludovic Morlot, Seattle Symphony
- Paru le 26/07/2019 chez Seattle Symphony Media
- Artiste principal : Seattle Symphony
- Genre : Classique
Livret numérique

Musique illimitée
Écoutez cet album en haute-qualité dès maintenant dans nos applications
Démarrer ma période d'essai et lancer l'écoute de cet albumProfitez de cet album sur les apps Qobuz grâce à votre abonnement
SouscrireProfitez de cet album sur les apps Qobuz grâce à votre abonnement
Téléchargement digital
Téléchargez cet album dans la qualité de votre choix
Après la disparition d’Henri Dutilleux (2013) et de Pierre Boulez (2016), le flambeau de la musique contemporaine est passé en France à une nouvelle génération de compositeurs. Si certains d’entre eux étaient déjà largement connus depuis quelques années, ils s’imposent maintenant dans leur pays, mais aussi sur le plan international, comme Marc-André Dalbavie auquel Ludovic Morlot et son Orchestre Symphonique de Seattle consacrent un album entier.
Enregistré pour moitié en concert (La Source d’un regard, Concerto pour flûte) et en studio (Concerto pour hautbois, Concerto pour violoncelle), cette anthologie offre une perspective idéale pour découvrir le langage poétique et coloré de ce compositeur né en 1961. Composé à l’occasion du centenaire d’Olivier Messiaen en 2008, La Source d’un regard (celui de l’Enfant Jésus évidemment) utilise à plusieurs reprises un groupe de quatre notes issues des Vingt Regards de Messiaen, mais en les traitant d’une manière très personnelle qui alterne nappes sonores méditatives et passages plus rythmiques, dans une orchestration d’une grande finesse de timbres.
Écrit en 2009 pour le hautboïste russe Alexis Ogrintchouk, soliste de l’Orchestre du Concertgebouw d’Amsterdam, le Concerto pour hautbois ménage virtuosité et poésie. Tout l’ambitus et les possibilités de l’instrument soliste y sont utilisés, y compris les sons multi-phoniques utilisés ici à des fins expressives. C’est pour un autre grand virtuose international, le flûtiste suisse Emmanuel Pahud, premier soliste des Berliner Philharmoniker, que Dalbavie a composé son Concerto pour flûte en 2006.
Composé en 2013, le Concerto pour violoncelle, d’un seul tenant, est écrit en six épisodes sous forme de « Fantaisies » tantôt rêveuses tantôt hallucinatoires. Les solistes, Mary Lynch, au hautbois, Demarre McGill à la flûte, et Jay Campbell au violoncelle s’engagent complètement dans ces trois œuvres concertantes dirigées par Ludovic Morlot qui mettait ainsi un point final cent pour cent français à ses huit années d’activité à la tête de l’Orchestre de Seattle. © François Hudry/Qobuz
Marc-André Dalbavie: La source d'un regard & Concertos
Seattle Symphony
Vous êtes actuellement en train d’écouter des extraits.
Écoutez plus de 70 millions de titres avec votre abonnement illimité.
Écoutez cet album et plus de 70 millions de titres avec votre abonnement illimité.
0€ puis 19.99€ / mois

La source d'un regard (Live) (Marc-André Dalbavie)
Marc-André Dalbavie, Composer - Seattle Symphony, Orchestra, MainArtist - Ludovic Morlot, Conductor
(C) 2019 Seattle Symphony Media (P) 2019 Seattle Symphony Media
Oboe Concerto (Marc-André Dalbavie)
Marc-André Dalbavie, Composer - Seattle Symphony, Orchestra - Ludovic Morlot, Conductor - Mary Lynch, Artist, MainArtist
(C) 2019 Seattle Symphony Media (P) 2019 Seattle Symphony Media
Flute Concerto (Live) (Marc-André Dalbavie)
Marc-André Dalbavie, Composer - Seattle Symphony, Orchestra - Ludovic Morlot, Conductor - Demarre McGill, Artist, MainArtist
(C) 2019 Seattle Symphony Media (P) 2019 Seattle Symphony Media
Cello Concerto (Marc-André Dalbavie)
Marc-André Dalbavie, Composer - Seattle Symphony, Orchestra - Ludovic Morlot, Conductor - Jay Campbell, Artist, MainArtist
(C) 2019 Seattle Symphony Media (P) 2019 Seattle Symphony Media
Descriptif de l'album
Après la disparition d’Henri Dutilleux (2013) et de Pierre Boulez (2016), le flambeau de la musique contemporaine est passé en France à une nouvelle génération de compositeurs. Si certains d’entre eux étaient déjà largement connus depuis quelques années, ils s’imposent maintenant dans leur pays, mais aussi sur le plan international, comme Marc-André Dalbavie auquel Ludovic Morlot et son Orchestre Symphonique de Seattle consacrent un album entier.
Enregistré pour moitié en concert (La Source d’un regard, Concerto pour flûte) et en studio (Concerto pour hautbois, Concerto pour violoncelle), cette anthologie offre une perspective idéale pour découvrir le langage poétique et coloré de ce compositeur né en 1961. Composé à l’occasion du centenaire d’Olivier Messiaen en 2008, La Source d’un regard (celui de l’Enfant Jésus évidemment) utilise à plusieurs reprises un groupe de quatre notes issues des Vingt Regards de Messiaen, mais en les traitant d’une manière très personnelle qui alterne nappes sonores méditatives et passages plus rythmiques, dans une orchestration d’une grande finesse de timbres.
Écrit en 2009 pour le hautboïste russe Alexis Ogrintchouk, soliste de l’Orchestre du Concertgebouw d’Amsterdam, le Concerto pour hautbois ménage virtuosité et poésie. Tout l’ambitus et les possibilités de l’instrument soliste y sont utilisés, y compris les sons multi-phoniques utilisés ici à des fins expressives. C’est pour un autre grand virtuose international, le flûtiste suisse Emmanuel Pahud, premier soliste des Berliner Philharmoniker, que Dalbavie a composé son Concerto pour flûte en 2006.
Composé en 2013, le Concerto pour violoncelle, d’un seul tenant, est écrit en six épisodes sous forme de « Fantaisies » tantôt rêveuses tantôt hallucinatoires. Les solistes, Mary Lynch, au hautbois, Demarre McGill à la flûte, et Jay Campbell au violoncelle s’engagent complètement dans ces trois œuvres concertantes dirigées par Ludovic Morlot qui mettait ainsi un point final cent pour cent français à ses huit années d’activité à la tête de l’Orchestre de Seattle. © François Hudry/Qobuz
À propos
- 1 disque(s) - 4 piste(s)
- Durée totale : 01:12:44
- Artiste principal : Seattle Symphony
- Compositeur : Marc-André Dalbavie
- Label : Seattle Symphony Media
- Genre : Classique
-
24-Bit 96.0 kHz - Stereo
Livret numérique
(C) 2019 Seattle Symphony Media (P) 2019 Seattle Symphony Media
Améliorer cette page album
Pourquoi acheter sur Qobuz ?
-
Streamez ou téléchargez votre musique
Achetez un album ou une piste à l’unité. Ou écoutez tout notre catalogue en illimité avec nos abonnements de streaming en haute qualité.
-
Zéro DRM
Les fichiers téléchargés vous appartiennent, sans aucune limite d’utilisation. Vous pouvez les télécharger autant de fois que vous souhaitez.
-
Choisissez le format qui vous convient
Vous disposez d’un large choix de formats pour télécharger vos achats (FLAC, ALAC, WAV, AIFF...) en fonction de vos besoins.
-
Écoutez vos achats dans nos applications
Téléchargez les applications Qobuz pour smartphones, tablettes et ordinateurs, et écoutez vos achats partout avec vous.




Playlists





De Sappho de Mytilène à Kaija Saariaho en passant par Clara Schumann, plusieurs femmes ont su déjouer les codes machistes du milieu pour passer à la composition. Si le paysage de la musique classique a largement été dominé par les hommes ces derniers siècles, les œuvres de leurs consœurs, pionnières ou contemporaines, sont tout aussi passionnantes. Défense et illustration de la composition au féminin en onze portraits musicaux.
Le violoniste et chef italien Fabio Biondi, célèbre notamment pour son interprétation des “Quatre Saisons” de Vivaldi avec son orchestre Europa Galante, est de ceux qui rejettent toute forme de cloisonnement dans la musique. Retour sur le parcours d’un musicien doté d’une grande souplesse d’esprit et figure incontournable du violon baroque.
Géant de la musique classique allemande, Wilhelm Backhaus (1884-1969) est souvent apparu comme un rigoriste dénué de fantaisie. Son immense legs discographique pour Decca, encore assez rare à l’époque, est réédité aujourd’hui dans d’excellentes conditions. Il permet de réévaluer à la hausse une réputation trop souvent injuste. Backhaus nous apparaît singulièrement plus moderne qu’autrefois grâce à son respect du texte et à ses interprétations sans esbroufe qui cernent au mieux les compositeurs, depuis le premier enregistrement jamais réalisé d’un concerto, celui de Grieg, sévèrement abrégé en 1909, jusqu’à son dernier concert quelques jours avant sa mort.