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Greyfell|Horsepower

Horsepower

Greyfell

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Pour ce second album, les quatre Rouennais se sont sentis pousser des ailes. On les croyait ancrés dans une mouvance stoner ou doom où la pesanteur fait loi, mais cet album s’en affranchit dès les premières notes de People’s Temple. Et pourtant on est à mille lieues d’une musique facile et légère. Aussi aériennes soient-elles les nappes de guitares ou de synthé restent menaçantes, voire oppressantes (Horses). Cela permet, paradoxalement, à la basse, mixée très en avant (No Love), d’être aussi mélodique que rythmique, d’autant que la batterie évolue dans un registre tout en finesse et en nuance. Mais ce qui démarque Greyfell reste indéniablement ce chant incantatoire envoûtant qui ramène aux meilleures heures de la cold wave (Killing Joke, Joy Division, Gary Numan, Ultravox ou même Cure...). C’est cette approche vocale qui favorise une rare liberté musicale, particulièrement dans des compositions alambiquées comme Spirit Of The Bear, qui offre tout au plus quelques réminiscences du Blue Monday de New Order (version Orgy) avec quelques échos du Tomorrow Never Knows des Beatles. Autre morceau étiré sur plus de 8 minutes, King Of Xenophobia clôt cet album, qui ne ment pas en vantant sans modestie sa puissance dans son titre, sur un ton plus metal, proche du Mastodon de The Czar, du Nine Inch Nails des débuts ou encore de Type O Negative... Greyfell s’est donné les moyens de ses ambitions et mérite amplement de dépasser les limites de l’hexagone. ©JPS/Qobuz

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1
People's Temple
00:06:49

Greyfell, MainArtist

(C) 2017 Atypeek Music (P) 2017 Atypeek Music

2
Horses
00:04:22

Greyfell, MainArtist

(C) 2017 Atypeek Music (P) 2017 Atypeek Music

3
No Love
00:06:12

Greyfell, MainArtist

(C) 2017 Atypeek Music (P) 2017 Atypeek Music

4
Spirit of the Bear
00:08:47

Greyfell, MainArtist

(C) 2017 Atypeek Music (P) 2017 Atypeek Music

5
King of Xenophobia
00:08:27

Greyfell, MainArtist

(C) 2017 Atypeek Music (P) 2017 Atypeek Music

Chronique

Pour ce second album, les quatre Rouennais se sont sentis pousser des ailes. On les croyait ancrés dans une mouvance stoner ou doom où la pesanteur fait loi, mais cet album s’en affranchit dès les premières notes de People’s Temple. Et pourtant on est à mille lieues d’une musique facile et légère. Aussi aériennes soient-elles les nappes de guitares ou de synthé restent menaçantes, voire oppressantes (Horses). Cela permet, paradoxalement, à la basse, mixée très en avant (No Love), d’être aussi mélodique que rythmique, d’autant que la batterie évolue dans un registre tout en finesse et en nuance. Mais ce qui démarque Greyfell reste indéniablement ce chant incantatoire envoûtant qui ramène aux meilleures heures de la cold wave (Killing Joke, Joy Division, Gary Numan, Ultravox ou même Cure...). C’est cette approche vocale qui favorise une rare liberté musicale, particulièrement dans des compositions alambiquées comme Spirit Of The Bear, qui offre tout au plus quelques réminiscences du Blue Monday de New Order (version Orgy) avec quelques échos du Tomorrow Never Knows des Beatles. Autre morceau étiré sur plus de 8 minutes, King Of Xenophobia clôt cet album, qui ne ment pas en vantant sans modestie sa puissance dans son titre, sur un ton plus metal, proche du Mastodon de The Czar, du Nine Inch Nails des débuts ou encore de Type O Negative... Greyfell s’est donné les moyens de ses ambitions et mérite amplement de dépasser les limites de l’hexagone. ©JPS/Qobuz

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