Shahin Novrasli
Si de son Azebaïdjan natal Shahin Novrasli a gardé l’amour de la musique traditionnelle Mugham, de son apprentissage de la musique classique et du jazz, il a acquît une technicité hors pair. Fort de ce parcours musical atypique, débuté alors qu’il n’a que cinq ans, Shahin Novrasli propose un cocktail détonnant et inédit, porté par un jeu de piano d’une grande intensité. Son style, que l’on pourrait qualifier de « Chick Coréen », est très rythmique, percussif et d’une complexité harmonique inouïe. A l’image de Bayati, sorti début 2014. Les notes y tombent en cascade, poursuivies par la batterie bondissante d’Ari Hoening, et par la contrebasse fugueuse de Nathan Peck. Avant de briguer le statut d’étoile montante de la scène jazz internationale, Shahin Novrasli a suivi une formation rigoureuse, commencée précocement. Il faut dire qu’il présentait dès son plus jeune âge des prédispositions pour la musique, que ses parents n’ont pas tardé à repérer. Né sur les rives de la mer Caspienne, c’est là, à Baku, qu’il fait son entrée à l’école de musique. Les évènements s’enchainent rapidement pour Shahin, qui se produit aux côtés de l’orchestre symphonique local dès l’âge de 11ans, avant d’interpréter en public le réputé très complexe Concerto pour piano N°2 de Rachmaninov à 18 ans. Son talent d’interprète l’amène bientôt à enregistrer ses propres compositions, qu’il défendra sur les scènes du monde entier. Dans la foulée, il accompagne des pointures comme Kenny Wheeler, Tim Garland ou Iain Ballamy. Les ainés de Novrasli ont du flair, et il ne serait pas surprenant que l’on retrouve sous peu le jeune azerbaïdjanais aux côtés des plus grands. ©Nicolas Gal
Lire plusSi de son Azebaïdjan natal Shahin Novrasli a gardé l’amour de la musique traditionnelle Mugham, de son apprentissage de la musique classique et du jazz, il a acquît une technicité hors pair. Fort de ce parcours musical atypique, débuté alors qu’il n’a que cinq ans, Shahin Novrasli propose un cocktail détonnant et inédit, porté par un jeu de piano d’une grande intensité. Son style, que l’on pourrait qualifier de « Chick Coréen », est très rythmique, percussif et d’une complexité harmonique inouïe. A l’image de Bayati, sorti début 2014. Les notes y tombent en cascade, poursuivies par la batterie bondissante d’Ari Hoening, et par la contrebasse fugueuse de Nathan Peck. Avant de briguer le statut d’étoile montante de la scène jazz internationale, Shahin Novrasli a suivi une formation rigoureuse, commencée précocement. Il faut dire qu’il présentait dès son plus jeune âge des prédispositions pour la musique, que ses parents n’ont pas tardé à repérer. Né sur les rives de la mer Caspienne, c’est là, à Baku, qu’il fait son entrée à l’école de musique. Les évènements s’enchainent rapidement pour Shahin, qui se produit aux côtés de l’orchestre symphonique local dès l’âge de 11ans, avant d’interpréter en public le réputé très complexe Concerto pour piano N°2 de Rachmaninov à 18 ans. Son talent d’interprète l’amène bientôt à enregistrer ses propres compositions, qu’il défendra sur les scènes du monde entier. Dans la foulée, il accompagne des pointures comme Kenny Wheeler, Tim Garland ou Iain Ballamy. Les ainés de Novrasli ont du flair, et il ne serait pas surprenant que l’on retrouve sous peu le jeune azerbaïdjanais aux côtés des plus grands. ©Nicolas Gal
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