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Jamie Cullum


Jamie Cullum déboule dans l’univers des chanteurs-crooners début des années 2000. Son style façon "Sinatra en baskets" aurait pu le desservir et c’est tout le contraire. Il s’impose comme le grand gagnant de sa promo, se forgeant immédiatement une solide réputation de showman grâce à des concerts de haut vol, pleins d'humour et d'énergie. Son credo : mélanger la subtilité du jazz à l’évidence de la musique pop, fédérer les genres en abattant avec une réussite indéniable ces cloisons parfois obsolètes qui restreignent notre univers musical. « J'aime la musique pop, explique-t-il, donc je mélange le jazz et la musique pop. Pas parce que je veux le rendre accessible, mais parce que c'est la musique que j'apprécie. » Jamie Cullum ne renie pas son amour immodéré pour les standards éternels du jazz, mais ne renonce pas pour autant à sa volonté de briser les bibelots, faire partager sa passion, quitte à déranger l'ordre presque religieux du jazz en y introduisant sa modernité.


C'est que ce jeune homme, né le 20 août 1979 à Rochford (Essex) et grandi dans le Wiltshire, est curieux de tout (jazz, blues, rock, country, rap, hip hop, electro, musique classique, country, grunge ou world), sans jamais renier sa passion pour la musique populaire, la pop. Il fait ses premiers pas de guitariste à l'âge de 8 ans. Très vite, il passe au chant et au piano, sans savoir qu'il en vivra, quelques années plus tard. Il découvre l'univers du jazz par l'intermédiaire de son frère aîné, Ben, qu'il considère comme sa plus grande influence musicale. Un disque d'Oscar Peterson, puis un autre de Dave Brubeck, scellent alors le destin de Jamie : sa vie sera étroitement liée à ce genre. C’est que l’homme est bien né, il a étudié à la Grittleton House School ainsi qu'à la Sheldon School de Chippenham. Il a enchaîné ensuite avec des études en littérature anglaise et cinématographique à l'université de Reading, où il a été diplômé avec les honneurs de la première classe. En 1999, il sort son premier album « Heard It All Before ». En 2003, son troisième album, « Twentysomething », est produit par Verve. Il en écoule deux millions d’exemplaires dans le monde ! Un record pour un disque de jazz. En 2004, il participe à la bande originale du film « Bridget Jones : l'âge de raison ». En 2005, il est nommé aux Grammy Awards et sort son album « Catching Tales ». En 2007, Jamie Cullum brouille toujours les frontières du jazz et de la pop avec « In The Mind of Jamie Cullum ». En 2008, il signe la ballade « Gran Torino », composée spécialement pour le film éponyme de Clint Eastwood. En 2009, il sort son cinquième album, « The Pursuit ». En 2013 « Momentum », un double très pop avant de revenir en 2014 à ses premières amours, le jazz avec « Interlude ». Depuis avril 2010, il présente une émission de jazz tous les mardis à 19h sur BBC Radio 2, émission retransmise sur la radio française, TSF Jazz. Il s'explique : « Au début, je croyais que certaines de mes chansons n'avaient pas leur place dans le jazz, mais je me suis rendu compte que si et cela réaffirme ma conviction que le jazz est la plus grande plate-forme pour faire ce qu'on veut ! Les gens demandent pourquoi je fais du jazz. C'est parce que vous pouvez aller n'importe où, vous pouvez embrasser la musique dance, le rock, la pop, le classique… ». JMP©Qobuz

Discographie

42 album(s) • Trié par Meilleures ventes

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