Un home-studio, c’est bien. Le Transsibérien, c’est mieux ! A bord de ce train légendaire reliant Moscou à Vladivostok, Thylacine a composé son premier album. Rencontre avec l'une des figures montantes de la nouvelle scène électro française.

Se balader d’Angers – où il est né il y 23 ans – à Brest est un brin moins excitant que de se faire Moscou Vladivostok à bord du Transsibérien, non ? C'est justement dans ce train mythique que William Rezé alias Thylacine a composé et enregistré son premier album, le bien nommé Transsiberian. 9000 kilomètres, 160 heures de train, plus de 1000 gares traversées et, au bout du compte, un album d'électro assez fascinant. Un disque ambitieux, plus cinématographique que jamais, dont son auteur raconte ici la genèse. Thylacine revient également sur son parcours musical personnel et sa vision de la jeune scène électro made in France dont il est l’un des ambassadeurs les plus intéressants aux côtés des Superpoze, Fakear et autres Rone. Une génération assez éloignée de celle de la French Touch des années 90. De jeunes musiciens plus influencés par Philip Glass, Steve Reich et Brian Eno que Giorgio Moroder, Franckie Knukles et Marshall Jefferson. Rencontre.

Thylacine : interview vidéo Qobuz

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