Entretien avec le grand violoncelliste Christophe Coin à l’occasion de la publication d’un disque consacré au compositeur romantique oublié Johann Benjamin Gross, première sortie de Parenthèses, la nouvelle collection de Laborie Classique.

C’est en connaissant mieux les Petits Maîtres que nous pouvons espérer comprendre les Grands… Tel est le crédo de Parenthèses, nouvelle collection éditée par Laborie Classique. Avec cette passionnante entreprise musicologique et musicale, le violoncelliste Christophe Coin poursuit ce qui lui a toujours tenu à cœur, l’exploration de territoires inconnus et l’ouverture de parenthèses dans la littérature du grand répertoire. Enregistré par le Quatuor Mosaïques de Coin, Yoko Kaneko au pianoforte et le baryton Michaël Dahmen, le premier volume de cette nouvelle collection est consacré à la musique de Johann Benjamin Gross (1809-1848), contemporain de Schumann et de Mendelssohn mais aussi violoncelliste prisé. Qui était ce Monsieur Gross qui offrait une belle opposition entre simplicité des mélodies et élaboration des harmonies ? Et pourquoi son nom a totalement disparu des encyclopédies musicales ? Christophe Coin raconte.

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