Patrice promènera One, son nouvel opus paru en septembre, un peu partout en France. Un LP à mi chemin entre la nu-soul, le reggae et les balades folk.
Patrice sera donc le 29 octobre au festival de Morlaix, le 30 à la Trocadière de Nantes, le 31 à la Médoquine de Bordeaux, le 1er novembre au Phare de Toulouse, le 3 à la Coopérative de Mai de Clermont, le 4 au Zénith de Saint-Etienne, le 5 aux Docks des Suds de Marseille, le 6 au Nikaia de Nice, le 13 au Summum de Grenoble, le 14 au Zénith de Montpellier, les 15 et 16 au Transbordeur de Lyon, le 18 au Zénith de Paris et enfin le 19 novembre à la Laiterie de Strasbourg.
Le compagnon d'Ayo impulse depuis 1999 un son mêlant rythmes afros et sonorités actuelles entre pop et ragga. Une recette singulière qui a permis au Germano-sierra léonais de connaître un franc succès avec son désormais tubesque Every Day Good (issu de l’album Ancient Spirit). Aujourd’hui Patrice réitère la formule (magique et presque incantatoire) avec ce LP dans la lignée des prédécesseurs, en y apportant toujours cette note de sagesse et de spiritualité chère au songwriter, voire de religiosité.
One est sorti le 13 septembre et contient 13 morceaux. Superstitieux Patrice ? Le chanteur vous dirait plutôt que c’est astrologique. Oui, le musicien est parfois très intimement lié au cosmos, loin sans faut. Et dévoile d’ailleurs des morceaux qui révèlent bien souvent le rapport de l’homme au monde. La solitude, la quête, mais aussi toujours autant de fraîcheur.
Il déversera ainsi un mélange de chansons mélodramatiques emmenées par un orchestre à cordes (et selon les scènes des samples du meilleur effet), et de morceaux enflammés grâce au pouvoir des percussions et jeux de guitare rythmique exaltés de sa bande Patrice & The Supowers, comme sur Ain’t Got Know - reprise popesque du tube de Nina Simone. Le tout porté par le timbre éraillé, d’une troublante sensibilité, et so soulful de Patrice.
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