• Le Met relève ses tarifs
Lors de la présentation de sa saison 2010 -2011, le Metropolitan Opera de New York a annoncé une hausse du prix de ses places. « Après quatre ans sans augmentation, le prix des billets augmentera de 6% pour les abonnements et de 11% pur les places individuelles », a indiqué l'institution. Après cette hausse, « environ un tiers des places resteront à moins de 100 dollars », précise le communiqué. La réservation d'un siège d'orchestre pourra coûter jusqu'à 420 dollars, contre 375 actuellement. Le Met a expliqué cette mesure du fait d'un « contexte économique difficile ». Des billets à prix réduits pourront toujours être obtenus par certaines catégories de spectateurs, à 25 ou 35 dollars la place.
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• Les Poppys battus par Universal
Six anciens Poppys, ces enfants-chanteurs qui trônèrent en tête du hit-parade au début des années 70, ont perdu le procès qu'ils avaient intenté à Universal Music France, à qui ils réclamaient plus d'un million d'euros au titre de leurs droits d'artistes-interprètes ! En 2008, le tribunal de Grande Instance de Paris les avait déjà déboutés. Selon l’AFP, la cour d'appel de Paris a confirmé ce jugement, le 24 février, considérant qu'Universal n'avait pas commis de « manquement à ses obligations contractuelles ». En 1970, Bruno Polius-Victoire, Thierry et Philippe Sellier, Philippe et Gabriel Képeklian et Harry Trowbridge, alors membres de la chorale des Petits chanteurs d'Asnières, avaient été choisis par Jean Amoureux pour intégrer un tout nouveau groupe au destin prometteur : les Poppys, constitués d'une petite vingtaine d'enfants de neuf à quatorze ans. Durant trois ans, les Poppys avaient surfé sur la vague hippie et accumulé les succès. Grâce à leurs chansons vantant la paix, l'amour et la fraternité, ils avaient écoulé plus de cinq millions de vinyles et obtenu deux disques d'or pour leur tube : Non, non, rien n'a changé. Trente ans plus tard, estimant avoir été lésés financièrement, ils avaient décidé d'attaquer Universal, tant au pénal qu'au civil. Au pénal, la plainte pour escroquerie et abus de confiance s'est conclue par un non-lieu en 2001, confirmé en appel en 2002. Au civil, en revanche, le dossier a continué à prospérer plusieurs années. Dans la décision rendue mercredi, la cour d'appel a infligé un nouveau revers aux enfants devenus quinquagénaires, considérant notamment que Jean Amoureux avait tout à fait « qualité pour signer les contrats d'enregistrements du 19 octobre 1970 et du 29 octobre 1976 » et avait alors « agi en parfait accord avec les membres du groupe » et leurs parents.
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• Prada à l’opéra
La créatrice Miuccia Prada, à la tête de la maison Miu Miu, collabore pour la première fois avec les architectes Herzog & de Meuron pour la création des costumes d’Attila de Verdi qui se tient au Metropolitan Opera de New York jusqu’au27 mars. L'orchestre de la grande maison d’art lyrique newyorkaise sera dirigé par Riccardo Muti. Côté voix, cette production accueille Ildar Abdrazakov,Violeta Urmana, Ramón Vargas et Carlos Alvarez. La mise en scène est assurée par Pierre Audi qui dirige pour la première fois cet opéra. Jacques Herzog et Pierre de Meuron qui ont créé leur cabinet d'architecture en 1978 ont reçu le prestigieux Pritzker Prize en 2001. Miuccia Prada fait elle ses débuts dans cet exercice création de costumes pour le théâtre à l'image de créateurs comme Christian Lacroix ou Jean-Paul Gaultier qui mettent leur talent régulièrement au service de la scène.
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• Sony Music France : Stéphane Le Tavernier succède à Christophe Lameignère
Selon Musique Info Hebdo, Stéphane Le Tavernier, ancien directeur général du label Jive Epic, nommé par la suite directeur général de Sony Music, a officiellement pris la succession de Christophe Lameignère à la tête de la deuxième major française, jeudi 25 février, à l'issue d'une communication interne. Par ailleurs président du SNEP (Syndicat National de l'Edition Phonographique), Lameignère occupait le poste de PDG depuis 2005 (après la fusion avec BMG) et avait réalisé chez Sony une partie importante de sa carrière.
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• U2, rois d’Amérique
Si l'argent est le critère de la réussite, alors U2 peut être satisfait. Le groupe irlandais a engrangé avec sa tournée 360 degrés plus de 108 millions de dollars en 2009. Il est en tête du classement américain des meilleurs gagneurs de la profession dans le magazine spécialisé Billboard. Bruce Springsteen arrive second, avec 57 millions de dollars, et Madonna ensuite, à 47 millions. AC/DC et Britney Spears complètent le Top 5, avec 43 et 38 millions, respectivement. Billboard fait le compte des revenus des tournées musicales, des recettes des CD vendus et des ventes de musique en ligne, parmi d'autres royalties que les artistes perçoivent. Madonna était premier l'an dernier, Bruce Springsteen troisième…
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