
Musique illimitée
Écoutez cet album en haute-qualité dès maintenant dans nos applications
Démarrer ma période d'essai et lancer l'écoute de cet albumProfitez de cet album sur les apps Qobuz grâce à votre abonnement
SouscrireProfitez de cet album sur les apps Qobuz grâce à votre abonnement
Téléchargement digital
Téléchargez cet album dans la qualité de votre choix
Peut-être – sans doute même – l’aimable lecteur ne connaît-il pas le compositeur Robert Radecke ; qui a pourtant vécu quelque 81 ans, de 1830 (né avant Brahms donc), mort en 1911 (l’année du Château de Barbe-Bleue de Bartók, un an après L’Oiseau de feu), et de sont temps fut un musicien aux multiples facettes, incontournable dans la vie musicale allemande en général, berlinoise en particulier ; parmi ses proches amis l’on pouvait compter Schumann, Brahms, Wagner, Liszt et même Strauss ! Cela dit, sa propre musique – qui ne compte même pas soixante numéros d’opus, le personnage étant très occupé par ailleurs comme pédagogue, instrumentiste et chef d’orchestre, comptant Bruno Walter parmi ses disciples – reste solidement ancrée dans le camp romantique, voire même parfois beethovenien (le scherzo de sa Symphonie en fa majeur Op. 50, de 1877, que l’on entendra ici en pièce de résistance, emprunte allègrement des accents à celui de la Neuvième de Ludwig van !), et considérant qu’il cessa de composer vers les années 90 hormis trois Lieder d’usage religieux, cela n’a donc rien d’étonnant. Sa dernière œuvre orchestrale majeure est le Nachtstück Op. 55 de 1890, un peu plus lisztien sans doute, ici présenté aussi. Il serait toutefois dommage de voir en Radecke un chnoque resté ancré dans son XIXe siècle : lorsqu’il en eut le pouvoir, il n’hésita pas une seconde à favoriser la création d’une symphonie de Richard Strauss dès 1885. De nos jours, il convient d’écouter sa musique non pas à l’aune d’une quelconque chronologie historique, mais pour ce qu’elle vaut : de la belle musique romantique, fichtrement bien composée, représentative de tout un pan de la vie culturelle allemande d’une époque au cours de laquelle se côtoyèrent bien des genres et des styles différents, voire opposés. © SM/Qobuz
« Jolie découverte que la musique de Robert Radecke (1830-1911). Ce proche de Clara Schumann, Joachim et Bruch fut un maître très estimé en son temps – il parraina le jeune Richard Strauss. Sa Symphonie en fa majeur (1877), pleine d’élan, le dispute en inspiration à deux scherzos (cette grâce mendelssohnienne !), à un orageux Nocturne et à l’Ouverture Le Roi Jean d’après Shakespeare. Ce sont des inédits d’importance que nous révèle ici l’Orchestre de Bienne Soleur, dirigé avec énergie et enthousiasme par Kaspar Zehnder.» (Diapason, juin 2016 / Jean-Claude Hulot)
Plus d'informationsVous êtes actuellement en train d’écouter des extraits.
Écoutez plus de 100 millions de titres avec votre abonnement illimité.
Écoutez cette playlist et plus de 100 millions de titres avec votre abonnement illimité.
À partir de CHF 14,16/mois

Overture to Shakespeare's König Johann, Op. 25 (Robert Radecke)
Sinfonie Orchester Biel Solothurn - Kaspar Zehnder, Conductor - Robert Radecke, Composer
(C) 2016 CPO (P) 2016 CPO
Symphony in F Major, Op. 50 (Robert Radecke)
Sinfonie Orchester Biel Solothurn - Kaspar Zehnder, Conductor - Robert Radecke, Composer
(C) 2016 CPO (P) 2016 CPO
Sinfonie Orchester Biel Solothurn - Kaspar Zehnder, Conductor - Robert Radecke, Composer
(C) 2016 CPO (P) 2016 CPO
Sinfonie Orchester Biel Solothurn - Kaspar Zehnder, Conductor - Robert Radecke, Composer
(C) 2016 CPO (P) 2016 CPO
Sinfonie Orchester Biel Solothurn - Kaspar Zehnder, Conductor - Robert Radecke, Composer
(C) 2016 CPO (P) 2016 CPO
Nachtstück, Op. 55 (Robert Radecke)
Sinfonie Orchester Biel Solothurn - Kaspar Zehnder, Conductor - Robert Radecke, Composer
(C) 2016 CPO (P) 2016 CPO
2 Scherzi, Op. 52 (Robert Radecke)
Sinfonie Orchester Biel Solothurn - Kaspar Zehnder, Conductor - Robert Radecke, Composer
(C) 2016 CPO (P) 2016 CPO
Sinfonie Orchester Biel Solothurn - Kaspar Zehnder, Conductor - Robert Radecke, Composer
(C) 2016 CPO (P) 2016 CPO
Descriptif de l'album
Peut-être – sans doute même – l’aimable lecteur ne connaît-il pas le compositeur Robert Radecke ; qui a pourtant vécu quelque 81 ans, de 1830 (né avant Brahms donc), mort en 1911 (l’année du Château de Barbe-Bleue de Bartók, un an après L’Oiseau de feu), et de sont temps fut un musicien aux multiples facettes, incontournable dans la vie musicale allemande en général, berlinoise en particulier ; parmi ses proches amis l’on pouvait compter Schumann, Brahms, Wagner, Liszt et même Strauss ! Cela dit, sa propre musique – qui ne compte même pas soixante numéros d’opus, le personnage étant très occupé par ailleurs comme pédagogue, instrumentiste et chef d’orchestre, comptant Bruno Walter parmi ses disciples – reste solidement ancrée dans le camp romantique, voire même parfois beethovenien (le scherzo de sa Symphonie en fa majeur Op. 50, de 1877, que l’on entendra ici en pièce de résistance, emprunte allègrement des accents à celui de la Neuvième de Ludwig van !), et considérant qu’il cessa de composer vers les années 90 hormis trois Lieder d’usage religieux, cela n’a donc rien d’étonnant. Sa dernière œuvre orchestrale majeure est le Nachtstück Op. 55 de 1890, un peu plus lisztien sans doute, ici présenté aussi. Il serait toutefois dommage de voir en Radecke un chnoque resté ancré dans son XIXe siècle : lorsqu’il en eut le pouvoir, il n’hésita pas une seconde à favoriser la création d’une symphonie de Richard Strauss dès 1885. De nos jours, il convient d’écouter sa musique non pas à l’aune d’une quelconque chronologie historique, mais pour ce qu’elle vaut : de la belle musique romantique, fichtrement bien composée, représentative de tout un pan de la vie culturelle allemande d’une époque au cours de laquelle se côtoyèrent bien des genres et des styles différents, voire opposés. © SM/Qobuz
« Jolie découverte que la musique de Robert Radecke (1830-1911). Ce proche de Clara Schumann, Joachim et Bruch fut un maître très estimé en son temps – il parraina le jeune Richard Strauss. Sa Symphonie en fa majeur (1877), pleine d’élan, le dispute en inspiration à deux scherzos (cette grâce mendelssohnienne !), à un orageux Nocturne et à l’Ouverture Le Roi Jean d’après Shakespeare. Ce sont des inédits d’importance que nous révèle ici l’Orchestre de Bienne Soleur, dirigé avec énergie et enthousiasme par Kaspar Zehnder.» (Diapason, juin 2016 / Jean-Claude Hulot)
À propos
- 1 disque(s) - 8 piste(s)
- Durée totale : 01:04:47
- Artistes principaux : Sinfonie Orchester Biel Solothurn Kaspar Zehnder
- Compositeur : Robert Radecke
- Label : CPO
- Origine : Allemagne
- Genre : Classique Musique symphonique
- Période : Musique Romantique
-
16-Bit CD Quality 44.1 kHz - Stereo
(C) 2016 CPO (P) 2016 CPO
Distinctions :
Améliorer les informations de l'album
Pourquoi acheter sur Qobuz ?
-
Streamez ou téléchargez votre musique
Achetez un album ou une piste à l’unité. Ou écoutez tout notre catalogue en illimité avec nos abonnements de streaming en haute qualité.
-
Zéro DRM
Les fichiers téléchargés vous appartiennent, sans aucune limite d’utilisation. Vous pouvez les télécharger autant de fois que vous souhaitez.
-
Choisissez le format qui vous convient
Vous disposez d’un large choix de formats pour télécharger vos achats (FLAC, ALAC, WAV, AIFF...) en fonction de vos besoins.
-
Écoutez vos achats dans nos applications
Téléchargez les applications Qobuz pour smartphones, tablettes et ordinateurs, et écoutez vos achats partout avec vous.