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Pokey LaFarge|Rhumba Country

Rhumba Country

Pokey LaFarge

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Un temps, on a cru que l’Américain Pokey Lafarge n’était qu’un bon revivaliste de plus. Un de ces gars qui s’habille comme en 1930, joue la musique du bon vieux temps et affirme en chansons que c’était mieux avant – et il a sûrement raison. Pokey Lafarge était tout ça, mais il s’est révélé plus que ça au fil des années et des albums : un de ces gars qui explore la richesse, la variété et l’ouverture des musiques folk anciennes, quand elles aimaient se rencontrer et se croiser, quand le jazz manouche influençait le western-swing, le flamenco le blues et le gospel la musique jamaïcaine. Avec Rhumba Country, il poursuit son exploration des métissages entre les musiques roots des Amériques. Toujours rétro, mais moins antique. Et il est passé du noir et blanc à la couleur. La rhumba, on l’entend pour de vrai sur le premier morceau, One You, One Me, avec son riff de piano qui chatouille. Et elle est déclinée ensuite sur quelques morceaux qui donnent envie de tomber la chemise à fleurs et de danser en maillot de bain. La country, on l’entendra moins. Cet album est plutôt orienté côté sud, avec de la pop gentiment psyché, un clin d’œil au rocksteady (la reprise façon Elvis gospel du Home Home Home de Ken Boothe) et globalement l’influence des musiques qui donnent des coups de soleil et envie de danser. Dans le grand voyage spatio-temporel que constitue sa discographie, Pokey Lafarge est actuellement entre Cuba, Kingston et Rio de Janeiro. Et pour l’époque, c’est les années 60 vues d’ici, à travers les manières du Beck à la cool des années 90. Le disque est parfaitement résumé dans l’adorable chanson de transhumance So Long Chicago, qui dit au-revoir à Chicago et bonjour à Mexico. © Stéphane Deschamps/Qobuz


 

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1
One You, One Me
00:03:13
2
For A Night
00:03:13
3
Run Run Run
00:03:34
4
Like A Sailor
00:03:45
5
Sister Andre
00:03:05
6
So Long Chicago
00:03:37
7
It’s Not Over
00:03:56
8
Home Home Home
00:02:41
9
Made To Be Loved
00:03:29
10
You Make My Garden Grow
00:04:50

Chronique

Un temps, on a cru que l’Américain Pokey Lafarge n’était qu’un bon revivaliste de plus. Un de ces gars qui s’habille comme en 1930, joue la musique du bon vieux temps et affirme en chansons que c’était mieux avant – et il a sûrement raison. Pokey Lafarge était tout ça, mais il s’est révélé plus que ça au fil des années et des albums : un de ces gars qui explore la richesse, la variété et l’ouverture des musiques folk anciennes, quand elles aimaient se rencontrer et se croiser, quand le jazz manouche influençait le western-swing, le flamenco le blues et le gospel la musique jamaïcaine. Avec Rhumba Country, il poursuit son exploration des métissages entre les musiques roots des Amériques. Toujours rétro, mais moins antique. Et il est passé du noir et blanc à la couleur. La rhumba, on l’entend pour de vrai sur le premier morceau, One You, One Me, avec son riff de piano qui chatouille. Et elle est déclinée ensuite sur quelques morceaux qui donnent envie de tomber la chemise à fleurs et de danser en maillot de bain. La country, on l’entendra moins. Cet album est plutôt orienté côté sud, avec de la pop gentiment psyché, un clin d’œil au rocksteady (la reprise façon Elvis gospel du Home Home Home de Ken Boothe) et globalement l’influence des musiques qui donnent des coups de soleil et envie de danser. Dans le grand voyage spatio-temporel que constitue sa discographie, Pokey Lafarge est actuellement entre Cuba, Kingston et Rio de Janeiro. Et pour l’époque, c’est les années 60 vues d’ici, à travers les manières du Beck à la cool des années 90. Le disque est parfaitement résumé dans l’adorable chanson de transhumance So Long Chicago, qui dit au-revoir à Chicago et bonjour à Mexico. © Stéphane Deschamps/Qobuz


 

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