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Budapest Festival Orchestra|Mahler: Symphony No. 2

Mahler: Symphony No. 2

Budapest Festival Orchestra and Iván Fischer

Disponible en
24-Bit/192 kHz Stereo

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La Deuxième symphonie ‘Résurrection’ (1894) de Mahler est une œuvre gigantesque, aux proportions immenses et aux contrastes extrêmes, qui dure entre 80 à 85 minutes. Seul Bruckner, avec sa cinquième ou sa huitième symphonie, chacune d’une durée de 75 minutes, s’en rapproche. Mais n’oublions pas que Mahler traita dans cette symphonie le thème de la vie, de la mort et de la résurrection. Il prit pour cela tout son temps. On suggéra que le thème de vie, de mort et de résurrection vint à l’esprit de Mahler lors de l’enterrement du grand chef d’orchestre Hans von Bülow en 1894. Il est toutefois certain que le texte de Klopstock que Mahler utilisa encore la même année pour l’apothéose (dernier mouvement) de sa deuxième symphonie fut lu lors de cet événement : “Aufersteh’n, jaaufersteh’n wirst du, mein Staub, nach kurzer Ruh ! Unsterblich Leben wird der dich rief gegeben.” (Ressusciter, oui tu vas ressusciter, mon corps, après un bref repos ! La vie éternellete sera donnée par Celui qui t’a appelé.) Mahler compléta ces mots avec ce qui suit :“O glaube, mein Herz. Es geht dir nichts verloren. Dein ist was du gesehnt. Dein, was du geliebt, was du gestritten. O glaube : Du wardst nicht umsonst geboren. Hast nicht umsonst gelebt, gelitten.” (Ô crois, mon cœur. Tu ne perdras rien. Est à toi ce à quoi tu aspires. Est à toi ce que tu aimes, ce pour quoi tu t’es battu. Ô crois : Tu n’es pas né en vain. Tu n’as pas vécu, souffert, en vain.) Le début sinistre et sombre du premier mouvement donne en réalité le ton de la symphonie entière. Le quatrième mouvement, ‘Urlicht’, est un lied extrait de Knaben Wunderhorn qui traite de la souffrance et de la mort de l’être humain. Sa conclusion apaisée est perturbée de façon abrupte par le Finale qui fait irruption. Mahler ajouta ici l’indication ‘Wild herausfahrend’ (Éclatant sauvagement). Ce mouvement semble être une symphonie en soi. (Extrait du texte du livret par Clemns Romijn)

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Mahler: Symphony No. 2

Budapest Festival Orchestra

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Symphony No. 2 "Resurrection" (Gustav Mahler)

1
I. Allegro maestoso
00:21:46

Gustav Mahler, Composer - Copyright Control, MusicPublisher - Ivan Fischer, Conductor, MainArtist - Budapest Festival Orchestra, Orchestra, MainArtist

2006 Channel Classics Records 2006 Channel Classics Records

2
II. Andante moderato
00:10:02

Gustav Mahler, Composer - Copyright Control, MusicPublisher - Ivan Fischer, Conductor, MainArtist - Budapest Festival Orchestra, Orchestra, MainArtist

2006 Channel Classics Records 2006 Channel Classics Records

DISQUE 2

1
III. In ruhig fliessender Bewegung
00:11:18

Gustav Mahler, Composer - Copyright Control, MusicPublisher - Ivan Fischer, Conductor, MainArtist - Budapest Festival Orchestra, Orchestra, MainArtist

2006 Channel Classics Records 2006 Channel Classics Records

2
IV. Urlicht, "Der Mensch liegt in grösster Not". Sehr feierlich, aber schlicht (Contralto)
00:04:52

Gustav Mahler, Composer - Copyright Control, MusicPublisher - Birgit Remmert, MainArtist - Ivan Fischer, Conductor, MainArtist - Friedrich Gottlieb Klopstock, Lyricist - Budapest Festival Orchestra, Orchestra, MainArtist

2006 Channel Classics Records 2006 Channel Classics Records

3
V. Im Tempo des Scherzos - Langsam. Misterioso, "Aufersteh'n" (Chorus, Soprano) - Etwas bewegter, " O glaube, mein Herz … Aufersteh'n" (Alto, Soprano, Chorus)
00:34:20

Gustav Mahler, Composer, Lyricist - Copyright Control, MusicPublisher - Birgit Remmert, MainArtist - Ivan Fischer, Conductor, MainArtist - Budapest Festival Orchestra, Orchestra, MainArtist - Lisa Milne, MainArtist - Hungarian Radio Choir, MainArtist

2006 Channel Classics Records 2006 Channel Classics Records

Chronique

La Deuxième symphonie ‘Résurrection’ (1894) de Mahler est une œuvre gigantesque, aux proportions immenses et aux contrastes extrêmes, qui dure entre 80 à 85 minutes. Seul Bruckner, avec sa cinquième ou sa huitième symphonie, chacune d’une durée de 75 minutes, s’en rapproche. Mais n’oublions pas que Mahler traita dans cette symphonie le thème de la vie, de la mort et de la résurrection. Il prit pour cela tout son temps. On suggéra que le thème de vie, de mort et de résurrection vint à l’esprit de Mahler lors de l’enterrement du grand chef d’orchestre Hans von Bülow en 1894. Il est toutefois certain que le texte de Klopstock que Mahler utilisa encore la même année pour l’apothéose (dernier mouvement) de sa deuxième symphonie fut lu lors de cet événement : “Aufersteh’n, jaaufersteh’n wirst du, mein Staub, nach kurzer Ruh ! Unsterblich Leben wird der dich rief gegeben.” (Ressusciter, oui tu vas ressusciter, mon corps, après un bref repos ! La vie éternellete sera donnée par Celui qui t’a appelé.) Mahler compléta ces mots avec ce qui suit :“O glaube, mein Herz. Es geht dir nichts verloren. Dein ist was du gesehnt. Dein, was du geliebt, was du gestritten. O glaube : Du wardst nicht umsonst geboren. Hast nicht umsonst gelebt, gelitten.” (Ô crois, mon cœur. Tu ne perdras rien. Est à toi ce à quoi tu aspires. Est à toi ce que tu aimes, ce pour quoi tu t’es battu. Ô crois : Tu n’es pas né en vain. Tu n’as pas vécu, souffert, en vain.) Le début sinistre et sombre du premier mouvement donne en réalité le ton de la symphonie entière. Le quatrième mouvement, ‘Urlicht’, est un lied extrait de Knaben Wunderhorn qui traite de la souffrance et de la mort de l’être humain. Sa conclusion apaisée est perturbée de façon abrupte par le Finale qui fait irruption. Mahler ajouta ici l’indication ‘Wild herausfahrend’ (Éclatant sauvagement). Ce mouvement semble être une symphonie en soi. (Extrait du texte du livret par Clemns Romijn)

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