Non Diana Krall n’est pas trop lice. Le « packaging » a beau en énerver plus d’un, le « contenu » est un vrai don du ciel. Et qu’elle revisite un standard de jazz ou un classique de la bossa brésilienne, la chanteuse canadienne fait sienne toutes les mélodies que son organe effleure. Avec Quiet Nights porté par les cordes du génial Claus Ogerman, la magie opère toujours en encore :
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