Une jeune Jacqueline du Pré dans Mendelssohn aux côtés de sa mère pianiste…

La grande Jacqueline du Pré alliait fougue et mélancolie comme nulle autre. Au delà du caractère quasi-romanesque de son personnage (elle joue le Concerto d’Elgar à seulement 16 ans, est rongée par la sclérose en plaques à 28 ans, etc.), la géniale violoncelliste britannique jouait comme elle vivait. A moins qu’elle ne vivait comme elle jouait… Elle s’attaque ici, en compagnie de sa mère, la pianiste Iris du Pré, qui fut son premier professeur, à Romance sans paroles pour violoncelle et piano, op. 109 de Mendelssohn. Sublime :