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L’actualité impose désormais cette évidence : Sébastien Tellier, a contrario du rugbyman Sébastien Chabal, avec lequel il partage néanmoins carrure et pilosité, n’ouvre la bouche qu’à bon escient. Même s’il n’est pas avare de ses efforts en la matière, géniteur en l’espace d’une décennie de trois albums en studio en format à géométrie variable suivant les contrées de distribution, un album acoustique en public, deux bandes originales de film (collaboration partielle pour Steak), et des tentatives de remixes. Sans évoquer même l’odyssée à Belgrade pour le compte du Concours de l’Eurovision de la chanson, pour le compte du refrain « Divine », et ses claquants rythmes synthétiques, et autres chœurs post-Rubettes.
Love Songs est donc l’intitulé retenu pour le survol de la carrière du Parisien, ce qui reste un assez passable résumé des préoccupations de l’artiste, et des attentes d’une frange de son public, prêt à la fois à l’action, et à la romance. Sagement classés par ordre chronologique (ou à peu près), les chansons retenues permettent de mesurer presque en temps réel l’évolution d’un compositeur qui a pris le risque d’un coming out technologique à partir de l’album Sexuality.
Mieux : c’est ici d’une manière éclatante que se fait jour la richesse évocatrice des partitions. « Fantino » et sa mélancolie soyeuse fut sur le tard récupéré pour la bande musicale de Lost in Translation par Sofia Coppola. Arraché au cocon de l’initial L’Incroyable Vérité, le très pointilliste « Universe » allumera des étoiles dans une évocation cinématographique de Daft Punk (Electroma). Quant à « L’enfance d’un chien », qui débute ici le programme, le metteur en scène Romain Gavras en fera son profit dans Notre jour viendra. Enfin, on sera ravi, positivement, de retrouver ici la très tendre et très douce et très respectueuse version d’une « Dolce Vita » empruntée à Christophe, comme la consécration d’un appariement de l’ordre de l’évidence.
Bonne nouvelle d’une étoile, donc (qui se trouve actuellement en studio pour pouvoir prochainement nous offrir la suite d’aventureuses musicales soyeuses), qui démontre en dix-sept sélections, et encore une fois, que quand on a que l’amour…Cela tombe bien : il l’a.
©Copyright Music Story 2015
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Sébastien Tellier, Performer - Sébastien Tellier, Composer
2011 Record Makers 2011 Record Makers
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Sébastien Tellier, Performer - Christophe, Composer
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2011 Record Makers 2011 Record Makers
Chronique
L’actualité impose désormais cette évidence : Sébastien Tellier, a contrario du rugbyman Sébastien Chabal, avec lequel il partage néanmoins carrure et pilosité, n’ouvre la bouche qu’à bon escient. Même s’il n’est pas avare de ses efforts en la matière, géniteur en l’espace d’une décennie de trois albums en studio en format à géométrie variable suivant les contrées de distribution, un album acoustique en public, deux bandes originales de film (collaboration partielle pour Steak), et des tentatives de remixes. Sans évoquer même l’odyssée à Belgrade pour le compte du Concours de l’Eurovision de la chanson, pour le compte du refrain « Divine », et ses claquants rythmes synthétiques, et autres chœurs post-Rubettes.
Love Songs est donc l’intitulé retenu pour le survol de la carrière du Parisien, ce qui reste un assez passable résumé des préoccupations de l’artiste, et des attentes d’une frange de son public, prêt à la fois à l’action, et à la romance. Sagement classés par ordre chronologique (ou à peu près), les chansons retenues permettent de mesurer presque en temps réel l’évolution d’un compositeur qui a pris le risque d’un coming out technologique à partir de l’album Sexuality.
Mieux : c’est ici d’une manière éclatante que se fait jour la richesse évocatrice des partitions. « Fantino » et sa mélancolie soyeuse fut sur le tard récupéré pour la bande musicale de Lost in Translation par Sofia Coppola. Arraché au cocon de l’initial L’Incroyable Vérité, le très pointilliste « Universe » allumera des étoiles dans une évocation cinématographique de Daft Punk (Electroma). Quant à « L’enfance d’un chien », qui débute ici le programme, le metteur en scène Romain Gavras en fera son profit dans Notre jour viendra. Enfin, on sera ravi, positivement, de retrouver ici la très tendre et très douce et très respectueuse version d’une « Dolce Vita » empruntée à Christophe, comme la consécration d’un appariement de l’ordre de l’évidence.
Bonne nouvelle d’une étoile, donc (qui se trouve actuellement en studio pour pouvoir prochainement nous offrir la suite d’aventureuses musicales soyeuses), qui démontre en dix-sept sélections, et encore une fois, que quand on a que l’amour…Cela tombe bien : il l’a.
©Copyright Music Story 2015
À propos
- 1 disque(s) - 19 piste(s)
- Durée totale : 01:18:06
- Artistes principaux : Sébastien Tellier
- Compositeur : Various Composers
- Label : Record Makers
- Genre : Électronique House
2011 Record Makers 2011 Record Makers
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