Violoncelliste d’exception mais aussi gambiste, musicologue, directeur artistique, Christophe Coin évoque son activité foisonnante et passionnante.

Ceux qui le suivent depuis une trentaine d’années savent bien que Christophe Coin n’est pas exclusivement violoncelliste, l’un des plus respectés de l’hexagone même. Fondateur du Quatuor Mosaïques, directeur artistique de l'Ensemble baroque de Limoges depuis 1991, directeur artistique classique du label Laborie, Indiana Jones des compositeurs oubliés (comme dernièrement un disque consacré à Alexandre Pierre François Boëly…), etc., son implication dans la musique est un superbe 360°. Et lorsque l’on survole son parcours, on croise les plus grands acteurs de la scène baroque, qu’il se nomme Harnoncourt, Hogwood, Kuijken, Savall, Leonhardt ou bien encore Ross. Baroque, mais pas que… A l’occasion de la sortie de La Jeune fille et la mort de Schubert qu’il vient d’enregistrer avec les Mosaïques, Christophe Coin revient sur cette carrière dense et sur ses envies futures.

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