Le jeune trompettiste présente La Horde, son premier album abouti, sensible, maîtrisé et enthousiasmant.

A la croisée d’univers qui ont fait son éducation, la musique classique par sa maman (Caroline Casadesus), le jazz par son beau père (Didier Lockwood) et ses lectures passionnées, La Horde de David Enhco doit son nom au roman d’Alain Damasio, La Horde du contrevent. Enregistré avec un quartet avec lequel il se produit régulièrement (Roberto Negro au piano, Florent Nisse à la contrebasse et Gautier Garrigue à la batterie), cette Horde est un premier album abouti, sensible, maîtrisé et enthousiasmant. « La Horde est une allégorie claire obscur, une quête épique, humaine, un long poème qui traite de l’éternelle question du dépassement », raconte David. « Une quête collective voulant aller au bout d’elle-même, qui illustre les paradoxes de cet univers abstrait de la musique, où aventure et poésie, souffrance et illusions, combat nu et recherche d’un sens du vivant n’ont qu’un but : une remise en question de soi qui mène vers l’inconnu ».

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