Entre dancehall, reggae et pop catchy, un album surprenant...

Sting et Shaggy : pas si surprenant comme tandem. En 1979, le leader de Police sortait Reggatta de Blanc, un second album sous influence jamaïcaine qui nourrissait la vague punky reggae versée par les Britanniques Clash, PIL, Ruts, Madness comme Bob Marley lui-même. Fasciné depuis toujours par les rythmes caribéens, Gordon Sumner, ne s'en est finalement jamais détaché. Alors quand son manager Martin Kierszenbaum qui travaille avec Shaggy lui fait écouter son prochain carton dancehall, le bassiste fait le déplacement depuis sa maison de Malibu pour chanter dessus.

L'entente entre le Jamaïcain et l’ex-Police au zénith, le titre deviendra le single Don't Make Me Wait, et six mois plus tard 44/876 en tandem était bouclé. De Crooked Tree à Dreaming In The USA, qui redore le blason américain, les deux compères parviennent entre reggae, dancehall et pop catchy à un album des plus surprenants, sans jamais tomber dans le ridicule. « L'album dont le Monde a besoin », selon Orville Richard Burrell alias Shaggy

Sting & Shaggy - Webisode #1 - "Don't Make Me Wait"

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Sting, Shaggy - Webisode #2

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Sting, Shaggy - Webisode #3

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Sting, Shaggy - Don't Make Me Wait (Official)

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