Avec un premier album qui enchantera les fans de Radiohead, Griefjoy livre un beau patchwork de rock, de pop et d'electro. Le quartet niçois en raconte la genèse.

Le chagrin (grief) est donc compatible avec la joie (joy). Et chez Griefjoy, la musique électronique l’est aussi avec la pop. Dès son premier album (un disque Qobuzissime !), le groupe niçois, lauréat du concours CQFD des Inrocks en 2009, réussit ce mélange hybride. Et même s’il lorgne ouvertement vers les Radiohead, Griefjoy sait d’entrée de jeu se démarquer en offrant une musique plus ludique. Comme une pop à tiroirs (avec du Caribou, du Metronomy, du etc.), surprenante à chaque nouvelle chanson, une célébration de cet art du contrepied façonné à coup de guitares, de pianos, de synthés et de machines en tous genres. Rencontre avec Guillaume Ferran (voix et piano), Billy Sueiro (guitare), David Spinelli (basse et synthé) et Romain Chazaut (batterie) pour évoquer la genèse de leur album et l’origine de ce patchwork musical.

Griefjoy | Qobuz Interview

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