Chaque année, Thomas Duroux, directeur de Château Palmer, invite des jazzmen à improviser sur le millésime en cours. Le trio de Lionel Belmondo était l’invité de la cuvée 2012 de ce mythique Margaux.

Les passerelles et les métaphores entre bon jazz et bon vin sont légions. Mais la rencontre que Château Palmer propose avec la note bleue est bien plus qu’une simple image plus ou moins poétique… Car le jazz, comme ce troisième grand cru classé d'appellation Margaux, puise ses racines dans une longue histoire, une tradition qui s'est enrichie de nombreuses influences et inspirations, et qui est en perpétuelle recherche d'innovation : respecter la tradition, l'enrichir en permanence, aller plus loin encore et encore, tout en gardant son âme. Ainsi, chaque année, Thomas Duroux, à la tête de Château Palmer depuis 2004, invite les plus grands noms du jazz à venir sculpter en notes et en improvisations le millésime en cours. Après Jacky Terrasson (millésime 2009), Michel Portal et Yaron Herman (millésime 2010) et Giovanni Mirabassi, Flavio Boltro et Glenn Ferris (millésime 2011), le trio de Lionel Belmondo, avec Sylvain Romano à la contrebasse et Jean-Pierre Arnaud à la batterie, est venu interpréter le millésime 2012 de Château Palmer, le 5 avril dernier. Le swing de ce millésime a résonné dans les chais tout récemment rénovés, comme pour y laisser son empreinte musicale, source d'inspiration dans la poursuite de son élevage. Comment Thomas Duroux, véritable et sincère passionné de jazz, s’est lancé dans cette aventure ? En quoi la belle singularité de sa démarche a touché Lionel Belmondo ? Rencontres et ballades autour des notes et des vignes.

Jazz et vin : Lionel Belmondo à Château Palmer - Qobuz.com

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