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James Dean Bradfield

C’est à Pontypool au Pays-de-Galles que James Dean Bradfield voit le jour le 21 février 1969. À l’école, le jeune garçon est victime d’harcèlement mais se passionne pour Napoléon, dont il rêve d’imiter le parcours, ainsi que pour la course à pied et bien entendu la musique. Aussi friand de l’énergie de The Clash que des mélodies sophistiquées d’Electric Light Orchestra, il apprend la guitare grâce à un livre de partitions du groupe Guns N’Roses et se met peu à peu à découvrir d’autres instruments, tels que la basse, les percussions ou les claviers. Devenu ami avec Nicky Wire et Richey Edwards, il prend part avec eux au groupe Manic Street Preachers. La formation de rock alternatif, dont il devient l’un des piliers, publie trois albums marquants jusqu’à la disparition énigmatique de Richey Edwards en 1995 (il sera déclaré mort en 2008). Si le groupe poursuit son activité discographique par la suite, James Dean Bradfield inaugure en 2006 sa carrière solo à la faveur de la sortie du single « That’s No Way to Tell a Lie » qui précède la sortie au cœur de l’été de la même année de l’album The Great Western. Il faut ensuite attendre l'année 2017 pour le voir publier un nouvel album, The Chamber, qui est en réalité la bande-originale du film du même nom. Trois ans plus tard, en 2020, James Dean Bradfield publie l’album Even in Exile, inspiré par la vie et la mort de Victor Jara, chanteur populaire chilien et membre du Parti communiste, qui fut l'un des principaux soutiens de l'Unité populaire et du président Salvador Allende. Il est précédé de trois simples, intitulés « There’ll Come the War », l’instrumental « Seeking the Room With the Three Windows », ainsi que « The Boy from the Plantation ».


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Discographie

13 album(s) • Trié par Meilleures ventes

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